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  Comment obtenir un emploi en intelligence artificielle en tunisie? Quelles sont les 3 matières associées à l'intelligence artificielle en tunisie? Comment faire pour travailler dans l'intelligence artificielle en tunisie ? Quels métiers seront remplacés par l'IA en tunisie? Quels sont les nouveaux emplois avenirs du au développement de l'intelligence artificielle en tunisie? Où Etudier l'intelligence artificielle en Tunisie en tunisie?   L'intelligence artificielle (IA) est une révolution technologique qui transforme rapidement de nombreux aspects de notre vie professionnelle et quotidienne. En Tunisie, comme dans de nombreuses autres régions du monde, l'IA est devenue un moteur de croissance économique, créant de nouvelles opportunités professionnelles tout en changeant la nature même du travail. Comprendre les implications de l'IA sur le marché de l'emploi, ainsi que les moyens de saisir ces opportunités, est devenu essentiel pour les professionnels aspirant à une carrière réussie. Cet article explore le paysage en constante évolution de l'IA en Tunisie, mettant en lumière les opportunités émergentes, les défis rencontrés et les ressources disponibles, avec un accent particulier sur l'importance de plateformes comme Tanitjobs , la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, dans la mise en relation des professionnels de l'IA avec les opportunités d'emploi pertinentes. Comment obtenir un emploi en intelligence artificielle en Tunisie ? L'avènement de l'intelligence artificielle (IA) représente une révolution majeure dans le paysage professionnel, avec la promesse de créer de nouveaux emplois et de transformer radicalement les métiers existants. L'IA, avec ses capacités de traitement et d'analyse de données à grande échelle, ouvre de nouvelles perspectives dans divers secteurs, de la santé à la finance en passant par la technologie et le marketing. Explorons en détail les emplois qui seront créés spécifiquement grâce à l'IA et les compétences requises pour réussir dans ces domaines en pleine expansion. Tout d'abord, les développeurs d'IA seront en première ligne de cette révolution. Ils seront chargés de concevoir et de développer des systèmes intelligents capables d'apprendre et de s'adapter à partir de données. Ces professionnels maîtrisent des langages de programmation tels que Python, Java et R, ainsi que des frameworks spécifiques à l'IA comme TensorFlow et PyTorch. Leur rôle consistera à créer des algorithmes d'apprentissage automatique et des réseaux neuronaux pour résoudre des problèmes complexes et améliorer les processus existants. Ensuite, les ingénieurs en données joueront un rôle crucial dans l'exploitation de l'IA. Leur responsabilité consistera à collecter, à stocker et à gérer d'énormes ensembles de données, ainsi qu'à les préparer pour l'analyse et l'apprentissage automatique. Ces professionnels doivent avoir une expertise dans les bases de données, le traitement des données massives (big data), et la manipulation de données à l'aide d'outils tels que SQL, Hadoop et Spark. Les scientifiques de données seront également en forte demande. Ils seront chargés d'analyser les données pour en extraire des insights exploitables et de construire des modèles prédictifs et des solutions d'IA. Ces professionnels doivent posséder des compétences avancées en statistiques, en mathématiques et en programmation, ainsi qu'une compréhension approfondie des algorithmes d'apprentissage automatique et des techniques d'exploration de données. De plus, les spécialistes en apprentissage automatique auront un rôle crucial dans le développement de modèles d'IA avancés. Leur expertise sera nécessaire pour entraîner ces modèles à partir de données et les optimiser pour des performances maximales. Ces professionnels doivent avoir une solide compréhension des mathématiques, des statistiques, et des techniques d'apprentissage automatique, ainsi qu'une expérience pratique dans la construction et l'évaluation de modèles. Outre ces postes techniques, l'IA créera également de nouveaux emplois dans des domaines tels que la gestion des systèmes d'IA . Ces professionnels seront chargés de superviser et d'optimiser les performances des systèmes d'IA déployés dans les entreprises, ainsi que de garantir leur sécurité et leur conformité réglementaire. Ils doivent avoir une compréhension approfondie des architectures d'IA, ainsi que des compétences en gestion de projet et en communication. Enfin, les éthiciens de l'IA joueront un rôle de plus en plus important à mesure que l'adoption de l'IA se généralisera. Ils seront chargés de garantir que les systèmes d'IA sont utilisés de manière éthique et responsable, en évitant les biais et les discriminations. Ces professionnels doivent avoir une compréhension approfondie des enjeux éthiques liés à l'IA, ainsi que des compétences en éthique appliquée et en réglementation. En conclusion, l'essor de l'intelligence artificielle promet de créer de nouveaux emplois passionnants dans divers secteurs. Des postes techniques tels que développeur d'IA, ingénieur en données et scientifique de données seront en forte demande, tandis que de nouveaux rôles émergeront dans la gestion des systèmes d'IA, l'éthique de l'IA et d'autres domaines connexes. Pour se préparer à ces emplois du futur, il est essentiel pour les professionnels d'acquérir les compétences techniques et analytiques nécessaires, ainsi que de rester à l'affût des tendances et des développements dans le domaine de l'IA. Et pour trouver des opportunités d'emploi dans le domaine de l'IA en Tunisie, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, Tanitjobs , reste une ressource incontournable pour les professionnels en quête de nouvelles opportunités de carrière. Quelles sont les 3 matières associées à l'intelligence artificielle en Tunisie? Pour comprendre pleinement le domaine complexe de l'intelligence artificielle (IA), il est crucial d'explorer les trois matières principales qui y sont associées. Chacune de ces matières joue un rôle essentiel dans la conception, le développement et l'application des systèmes d'IA, contribuant ainsi à façonner le paysage technologique actuel et futur. Jetons un coup d'œil détaillé à ces trois matières clés et à leur importance dans le domaine de l'IA : Informatique : L'informatique forme la pierre angulaire de l'IA. Une solide compréhension des concepts de programmation, des algorithmes et des structures de données est essentielle pour développer des systèmes d'IA efficaces. Les programmeurs spécialisés en IA doivent maîtriser plusieurs langages de programmation, tels que Python, Java, et C++, ainsi que des frameworks et des bibliothèques spécifiques à l'IA, comme TensorFlow et PyTorch. Ils sont chargés de traduire les modèles théoriques d'IA en code informatique fonctionnel, en concevant des algorithmes sophistiqués capables d'apprendre à partir de données et de prendre des décisions autonomes. Mathématiques : Les mathématiques fournissent la base théorique nécessaire à la modélisation et à l'optimisation des algorithmes d'IA. Des concepts mathématiques avancés, tels que les statistiques, le calcul différentiel et intégral, et l'algèbre linéaire, sont largement utilisés dans le développement des modèles d'IA. Par exemple, les statistiques sont utilisées pour évaluer la précision et la fiabilité des modèles, tandis que le calcul différentiel est utilisé dans l'optimisation des algorithmes d'apprentissage automatique. Une compréhension approfondie de ces concepts mathématiques permet aux chercheurs en IA de développer des modèles plus performants et plus efficaces. Sciences des données : Les sciences des données jouent un rôle crucial dans le domaine de l'IA en fournissant les techniques nécessaires à la collecte, à la manipulation et à l'analyse des données. Les professionnels de l'IA doivent être capables de travailler avec de grandes quantités de données provenant de sources variées, et de les préparer pour l'entraînement des modèles d'IA. Cela inclut la maîtrise des langages de programmation comme Python, ainsi que des outils et des bibliothèques d'analyse de données comme Pandas, NumPy et SciPy. Les compétences en sciences des données sont indispensables pour extraire des insights significatifs des données, identifier des tendances et des modèles, et développer des solutions d'IA pertinentes et efficaces. En conclusion, les trois matières principales associées à l'intelligence artificielle - l'informatique, les mathématiques et les sciences des données - sont étroitement interconnectées et indispensables au développement et à l'application réussis des systèmes d'IA. Une compréhension approfondie de ces matières est essentielle pour quiconque cherche à percer dans le domaine passionnant et en constante évolution de l'IA. Et pour ceux qui cherchent à explorer des opportunités de carrière dans l'IA en Tunisie, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, Tanitjobs , reste une ressource précieuse pour trouver des postes pertinents et stimulants dans ce domaine en plein essor. Comment faire pour travailler dans l'intelligence artificielle en Tunisie? Pour ceux qui aspirent à travailler dans le domaine en pleine croissance de l'intelligence artificielle (IA), il existe plusieurs étapes clés à suivre pour démarrer une carrière enrichissante et réussie. Voici un guide détaillé sur la manière de faire pour travailler dans l'intelligence artificielle : Acquérir une formation et une éducation pertinentes : Pour se lancer dans le domaine de l'IA, il est essentiel d'obtenir une formation solide en informatique, en mathématiques et en sciences des données. Les programmes universitaires en informatique, en génie logiciel, en mathématiques appliquées ou en sciences des données offrent une base solide pour développer les compétences nécessaires à une carrière en IA. Se spécialiser en IA : Une fois que vous avez acquis une base solide en informatique et en mathématiques, il est temps de vous spécialiser davantage en intelligence artificielle. Cela peut être réalisé en suivant des cours en ligne, des programmes de certification ou des diplômes spécialisés en IA. Des universités et des institutions de renom proposent une multitude de cours et de programmes dans des domaines spécifiques de l'IA, tels que l'apprentissage automatique, la vision par ordinateur et le traitement du langage naturel. Développer des compétences techniques solides : Pour réussir dans le domaine de l'IA, il est crucial de maîtriser les compétences techniques essentielles telles que la programmation, l'analyse de données et l'apprentissage automatique. Apprendre des langages de programmation populaires tels que Python et R, ainsi que des bibliothèques et des frameworks d'IA comme TensorFlow et PyTorch, est essentiel pour développer des modèles d'IA efficaces. Construire un portfolio de projets d'IA : Pour démontrer votre expertise en IA aux employeurs potentiels, il est important de construire un portfolio solide de projets d'IA réalisés. Cela peut inclure des projets académiques, des projets personnels ou des collaborations avec d'autres professionnels de l'IA. Un portfolio bien élaboré démontre votre capacité à résoudre des problèmes réels en utilisant des techniques d'IA et peut faire la différence lors de la recherche d'emploi. Réseauter et rechercher des opportunités d'emploi   Pour maximiser vos chances de trouver des opportunités d'emploi dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA), il est crucial de développer un réseau professionnel solide, de participer activement à des événements de l'industrie et d'utiliser des plateformes spécialisées telles que Tanitjobs, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie. Développer un réseau professionnel : Réseauter avec des professionnels du secteur de l'IA peut ouvrir des portes et vous permettre d'accéder à des opportunités cachées. Vous pouvez participer à des conférences, des ateliers ou des rencontres de réseautage pour rencontrer des experts du domaine, échanger des idées et établir des contacts professionnels précieux. Les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn sont également d'excellents outils pour étendre votre réseau et entrer en contact avec des recruteurs et des professionnels de l'IA. Participer à des événements de l'industrie : Les événements de l'industrie, tels que les conférences, les salons professionnels et les hackathons, sont des occasions idéales pour rencontrer des acteurs clés du secteur de l'IA, découvrir les dernières tendances et technologies, et élargir vos connaissances. Assister à ces événements vous permettra de rester à jour sur les avancées de l'IA, de nouer des relations professionnelles et éventuellement de rencontrer des employeurs potentiels. Utiliser des plateformes spécialisées comme Tanitjobs : Tanitjobs est la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, offrant une multitude d'offres d'emploi dans le domaine de l'IA et des technologies connexes. En utilisant Tanitjobs, vous pouvez parcourir les offres d'emploi, postuler à des postes pertinents et vous connecter directement avec les employeurs. La plateforme propose également des fonctionnalités telles que la création de profils professionnels, la réception d'alertes d'emploi et l'accès à des ressources utiles pour les chercheurs d'emploi. Personnaliser votre approche : Lors de la recherche d'emploi sur des plateformes comme Tanitjobs, il est important de personnaliser votre approche pour chaque candidature. Adaptez votre CV et votre lettre de motivation à chaque poste, mettez en valeur vos compétences et votre expérience pertinente en matière d'IA, et démontrez votre passion et votre engagement pour le domaine. Une approche personnalisée augmentera vos chances d'attirer l'attention des recruteurs et de décrocher des entretiens. Se tenir informé des tendances du marché : En plus de chercher activement des opportunités d'emploi, il est essentiel de rester informé des tendances du marché de l'IA. Suivez les publications spécialisées, les blogs d'experts, les forums de discussion et les communautés en ligne pour rester à jour sur les développements récents, les meilleures pratiques et les opportunités émergentes dans le domaine. Cette connaissance approfondie du secteur renforcera votre crédibilité et votre attractivité aux yeux des employeurs potentiels. En suivant ces conseils et en restant persévérant dans votre recherche, vous pouvez trouver des opportunités d'emploi stimulantes et gratifiantes dans le domaine en plein essor de l'intelligence artificielle en Tunisie. Quels métiers seront remplacés par l'IA en Tunisie ? L'IA est susceptible de remplacer certains emplois qui impliquent des tâches répétitives et prévisibles. Cela pourrait inclure des emplois dans les secteurs de la fabrication , de la logistique , du service clientèle et de la saisie de données . Les métiers à faible qualification ou hautement routiniers sont particulièrement exposés au remplacement par des systèmes automatisés d'IA. Dans le secteur manufacturier , de nombreuses tâches routinières et répétitives sont effectuées par des travailleurs humains, telles que l'assemblage de pièces, le contrôle qualité et la gestion des stocks. Cependant, avec l'avènement de la robotique et de l'automatisation alimentée par l'IA, de nombreuses de ces tâches peuvent être effectuées plus efficacement par des machines, réduisant ainsi la nécessité de main-d'œuvre humaine. Les systèmes d'IA sont également de plus en plus utilisés dans la gestion des chaînes d'approvisionnement et la logistique pour optimiser les itinéraires de livraison, gérer les stocks et prévoir la demande. Les emplois liés à la coordination des transports, à la planification des itinéraires et à la gestion des entrepôts pourraient être affectés par cette automatisation. Dans le domaine du service clientèle , de nombreuses entreprises utilisent désormais des chatbots alimentés par l'IA pour répondre aux questions des clients et résoudre les problèmes courants. Cela peut réduire la nécessité d'avoir un personnel dédié au service clientèle pour gérer les demandes simples et répétitives. Les emplois impliquant la saisie de données , tels que la transcription audio, la saisie de texte et la classification de données, peuvent être automatisés à l'aide d'algorithmes d'apprentissage automatique. Les systèmes d'IA peuvent analyser de grandes quantités de données et extraire des informations utiles de manière plus rapide et précise que les humains. Dans le secteur financier , de nombreuses tâches liées à la gestion des transactions, à l'analyse des données financières et à la gestion des risques peuvent être automatisées à l'aide de l'IA. Cela peut inclure des emplois tels que les analystes financiers , les courtiers en valeurs mobilières et les auditeurs . Tanitjobs, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, est une ressource précieuse pour trouver des postes pertinents et stimulants dans le domaine en plein essor de l'IA en Tunisie. En fin de compte, l'impact de l'IA sur l'emploi dépendra de la manière dont les entreprises et les travailleurs s'adaptent à ces changements et tirent parti des nouvelles opportunités qui se présentent. Quels sont les nouveaux emplois avenirs du au développement de l'intelligence artificielle en Tunisie? L'évolution de l'intelligence artificielle (IA) ouvre de nouvelles perspectives professionnelles, offrant des opportunités dans divers domaines. Voici un aperçu des nouveaux emplois à venir grâce au développement de l'IA : Scientifique des données : Les scientifiques des données sont chargés de collecter, d'analyser et d'interpréter de grandes quantités de données pour en extraire des informations pertinentes. Avec l'explosion des données dans tous les secteurs, le rôle du scientifique des données devient essentiel pour aider les entreprises à prendre des décisions basées sur des données probantes. Ingénieur en intelligence artificielle : Les ingénieurs en IA sont responsables de la conception, du développement et de la mise en œuvre des systèmes d'IA. Leur expertise est cruciale pour créer des algorithmes sophistiqués, des modèles d'apprentissage automatique et des applications basées sur l'IA dans des domaines tels que la reconnaissance vocale, la vision par ordinateur et le traitement du langage naturel. Développeur d'IA : Les développeurs d'IA sont chargés de programmer et de coder les systèmes d'IA pour répondre à des besoins spécifiques. Ils travaillent souvent en étroite collaboration avec les ingénieurs en IA pour traduire les concepts et les algorithmes en applications concrètes. Éthicien de l'IA : Avec la montée en puissance de l'IA, la question de l'éthique dans son développement et son utilisation devient de plus en plus importante. Les éthiciens de l'IA sont chargés d'évaluer les implications éthiques des technologies d'IA, de concevoir des cadres de réglementation et de politique, et de veiller à ce que l'IA soit utilisée de manière responsable et équitable. Spécialiste en apprentissage automatique : Les spécialistes en apprentissage automatique sont des experts dans la construction et l'entraînement des modèles d'IA. Leur rôle consiste à sélectionner les algorithmes appropriés, à prétraiter les données, à ajuster les paramètres du modèle et à évaluer les performances pour résoudre des problèmes spécifiques. Gestionnaire de projet d'IA : Les gestionnaires de projet d'IA supervisent la planification, la mise en œuvre et la gestion des projets liés à l'IA au sein d'une organisation. Ils coordonnent les équipes multidisciplinaires, définissent les objectifs du projet, établissent des échéanciers et s'assurent que les livrables sont conformes aux exigences. Consultant en IA : Les consultants en IA fournissent des conseils et des recommandations aux entreprises sur la manière d'intégrer et d'exploiter efficacement les technologies d'IA dans leurs activités. Leur expertise aide les entreprises à identifier les opportunités d'IA, à élaborer des stratégies de mise en œuvre et à surmonter les défis techniques et organisationnels. Ces nouveaux emplois reflètent la demande croissante de professionnels qualifiés pour exploiter le potentiel de l'IA dans divers secteurs . Tanitjobs, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, est une ressource précieuse pour trouver des opportunités de carrière dans le domaine en plein essor de l'IA en Tunisie. En poursuivant une formation pertinente et en acquérant des compétences spécialisées, les individus peuvent se positionner pour réussir dans ces nouveaux rôles et contribuer à façonner l'avenir de l'IA. Où Etudier l'intelligence artificielle en Tunisie ? En Tunisie, les opportunités d'étudier l'intelligence artificielle (IA) et les sciences des données sont de plus en plus accessibles grâce à divers établissements d'enseignement supérieur. Voici un aperçu des institutions et des programmes disponibles dans le pays : Universités : Plusieurs universités tunisiennes offrent des programmes d'études en IA et en sciences des données. Parmi les établissements les plus réputés figurent l'Université de Tunis El Manar, l'Université de Carthage, et l'Université de Sfax. Ces universités proposent des programmes de premier cycle en informatique, en génie informatique, en mathématiques appliquées et en sciences de l'information, qui couvrent souvent des cours avancés en IA et en sciences des données. Instituts de technologie : Les instituts de technologie en Tunisie, tels que l'Institut Supérieur d'Informatique et de Multimédia de Sfax (ISIMS) et l'Institut Supérieur des Sciences Appliquées et de Technologie de Sousse (ISSATSO), offrent également des programmes axés sur l'IA et les sciences des données. Ces programmes combinent souvent une formation pratique en programmation, en analyse de données et en développement de systèmes d'IA. Écoles d'ingénieurs : Les écoles d'ingénieurs en Tunisie jouent un rôle crucial dans la formation des futurs experts en IA. Des institutions telles que l'École Nationale d'Ingénieurs de Tunis (ENIT) et l'École Polytechnique de Tunisie proposent des programmes de génie informatique et de génie électrique qui intègrent des cours spécialisés en IA, en apprentissage automatique et en traitement du signal. Formations spécialisées : En plus des programmes académiques traditionnels, des formations spécialisées en IA et en sciences des données sont disponibles dans des centres de formation et des instituts privés en Tunisie. Ces formations sont souvent axées sur des compétences techniques spécifiques, telles que la programmation Python, l'apprentissage automatique et la visualisation de données, et sont conçues pour répondre aux besoins du marché du travail. Les aspirants étudiants intéressés par l'IA en Tunisie peuvent rechercher des programmes pertinents sur les sites web des établissements d'enseignement ou sur des plateformes d'information sur l'éducation. Tanitjobs, la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie, peut également fournir des informations sur les programmes de formation en IA et sur les opportunités de carrière dans ce domaine en plein essor. En choisissant le bon programme et en acquérant les compétences nécessaires, les étudiants peuvent se préparer à réussir dans le domaine passionnant et en évolution rapide de l'IA en Tunisie et au-delà. Conclusion L'intelligence artificielle en Tunisie est un domaine en pleine croissance qui offre à la fois des défis et des opportunités pour les professionnels. En comprenant les tendances de l'IA, en acquérant les compétences appropriées et en restant au fait des opportunités émergentes, les individus peuvent se positionner pour réussir dans ce domaine en évolution. En Tunisie, où le marché de l'emploi évolue rapidement, des plateformes comme Tanitjobs , la plateforme numéro 1 d'emploi en Tunisie , peuvent jouer un rôle crucial en reliant les professionnels de l'IA aux opportunités d'emploi pertinentes et en facilitant leur développement de carrière. Dans ce paysage professionnel en mutation, il est impératif de comprendre l'importance de rester au fait des avancées de l'intelligence artificielle. La croissance exponentielle de l'IA ouvre de nouvelles voies pour les professionnels, mais elle nécessite également une adaptation continue aux nouvelles technologies et aux tendances émergentes. En investissant dans l'apprentissage et le perfectionnement des compétences, les individus peuvent se positionner avantageusement pour saisir les opportunités offertes par ce domaine en plein essor. Tanitjobs, en tant que plateforme de premier plan dans le pays, joue un rôle crucial dans la mise en relation des professionnels de l'IA avec les opportunités d'emploi pertinentes. Grâce à sa vaste base de données d'emplois et à ses fonctionnalités de recherche avancées, Tanitjobs permet aux candidats de trouver rapidement des postes correspondant à leurs compétences et à leurs intérêts dans le domaine de l'intelligence artificielle. En conclusion, en saisissant les opportunités offertes par l'intelligence artificielle et en s'appuyant sur des plateformes comme Tanitjobs pour faciliter leur développement de carrière, les professionnels de l'IA en Tunisie peuvent jouer un rôle de premier plan dans la transformation de leur domaine et contribuer à l'avancement de la société dans son ensemble.  
Quels sont les métiers les plus demandés en Tunisie ? Quel est le métier le mieux payé en Tunisie ? Quel travail payé bien en Tunisie ? Quel est le projet le plus rentable en Tunisie ? Quelle est la formation la plus demandé ?   La recherche d'emploi revêt une importance capitale dans le parcours professionnel de chaque individu, car elle marque le début d'une nouvelle étape et peut avoir un impact significatif sur la trajectoire de carrière. En Tunisie , un pays dont le marché du travail est dynamique et en constante évolution, cette quête est d'autant plus cruciale. Comprendre les tendances , saisir les opportunités et répondre aux exigences du marché devient une nécessité pour quiconque souhaite réussir professionnellement dans ce contexte changeant. Dans ce pays où les fluctuations du marché de l'emploi sont monnaie courante, certains métiers demeurent constamment recherchés. Les secteurs les plus porteurs incluent généralement ceux de la technologie de l'information , de l' ingénierie , de la santé , du tourisme et de l' agriculture . Les professionnels qualifiés dans ces domaines sont hautement sollicités en raison de leurs compétences spécialisées, de leur capacité à innover et de leur adaptabilité aux évolutions du marché. Naviguer dans le marché de l'emploi tunisien exige une approche stratégique et méthodique. Tout d'abord, il est primordial de préparer un CV attractif et professionnel, mettant en avant ses compétences et son expérience pertinente. Ensuite, il est recommandé d'explorer les multiples canaux de recherche d'emploi, notamment les plateformes en ligne telles que Tanitjobs , les réseaux sociaux professionnels et les salons de l'emploi. Le réseautage avec des professionnels du secteur, la participation à des événements de recrutement et la personnalisation des candidatures constituent également des étapes essentielles dans la quête d'un emploi satisfaisant. Certains secteurs offrent des opportunités d'emploi avec des rémunérations attractives en Tunisie, ce qui en fait des destinations convoitées pour de nombreux professionnels. Les métiers de la technologie , de la finance , de la médecine et du droit sont souvent associés à des salaires compétitifs, reflétant ainsi la valeur des compétences spécialisées qu'ils exigent. Les candidats expérimentés et qualifiés dans ces domaines peuvent donc s'attendre à être rémunérés à la hauteur de leurs compétences et de leur expérience. il est crucial de ne pas négliger les secteurs émergents qui promettent de nombreuses opportunités pour l'avenir de l'emploi en Tunisie. Les industries axées sur les technologies de pointe , les énergies renouvelables , le développement durable , l' e-commerce et les services numériques sont en plein essor, offrant ainsi des débouchés stimulants pour les professionnels ambitieux. Les entreprises innovantes qui opèrent dans ces domaines contribuent non seulement à l'économie du pays, mais offrent également des perspectives de carrière intéressantes et enrichissantes. En conclusion, la recherche d'emploi en Tunisie requiert une approche proactive, informée et stratégique. En comprenant les tendances du marché, en exploitant les ressources disponibles et en se préparant de manière adéquate, chaque individu peut maximiser ses chances de réussir dans ce marché du travail dynamique et concurrentiel. Que ce soit en suivant une voie traditionnelle ou en explorant de nouveaux horizons dans des secteurs émergents , la Tunisie offre un éventail d'opportunités pour ceux qui sont prêts à saisir les occasions et à bâtir une carrière fructueuse dans ce pays en plein essor. Quels sont les métiers les plus demandés en Tunisie ? Les métiers les plus demandés en Tunisie reflètent souvent les évolutions technologiques et les besoins du marché mondial. Dans un marché du travail dynamique comme celui de la Tunisie, la demande d'emploi varie selon les secteurs, mais certains métiers demeurent constamment recherchés. Parmi ces métiers, ceux liés aux technologies de l'information (IT) , à l' intelligence artificielle (IA) et à la business intelligence (BI) occupent une place prépondérante. Dans le domaine des technologies de l'information (IT) , les professionnels qualifiés sont hautement recherchés pour leur expertise dans la résolution de problèmes, la gestion des systèmes informatiques et le développement de solutions logicielles. Les développeurs de logiciels, les administrateurs système, les analystes de données et les spécialistes en cybersécurité sont parmi les profils les plus recherchés dans ce domaine. Avec l'essor des entreprises numériques et la transformation digitale de nombreux secteurs, la demande pour ces profils reste constamment élevée. L' intelligence artificielle (IA) est également un domaine en plein essor en Tunisie. Les entreprises cherchent des professionnels capables de développer des algorithmes d'apprentissage automatique, des systèmes de traitement du langage naturel et des applications d'intelligence artificielle pour améliorer leurs processus opérationnels et fournir des solutions innovantes à leurs clients. Les data scientists , les ingénieurs en IA et les experts en apprentissage automatique sont donc très recherchés sur le marché du travail tunisien. Quant à business intelligence (BI) , elle est devenue un élément crucial de la prise de décision stratégique pour de nombreuses entreprises en Tunisie. Les professionnels de la BI sont chargés de collecter, d'analyser et de visualiser les données afin d'identifier les tendances, les opportunités et les défis commerciaux. Avec l'explosion des données dans le monde des affaires, les compétences en analyse de données, en modélisation statistique et en visualisation de données sont devenues essentielles pour exceller dans ce domaine. Maintenant, en ce qui concerne la recherche d'emploi en Tunisie, il est crucial de développer une stratégie efficace pour maximiser ses chances de succès. Tout d'abord, il est important de mettre à jour votre CV et votre profil en ligne sur des plateformes spécialisées telles que Tanitjobs . Cette plateforme joue un rôle essentiel dans la mise en relation entre les chercheurs d'emploi et les employeurs en offrant un large éventail d'offres d'emploi dans différents secteurs. Ensuite, il est nécessaire de rechercher activement des offres d'emploi correspondant à vos compétences et à vos intérêts. Cela implique de consulter régulièrement les annonces sur Tanitjobs , mais aussi de se tenir informé des opportunités par le biais de réseautage professionnel et de participation à des événements de recrutement. De plus, il est recommandé d'adapter votre candidature à chaque poste pour mettre en valeur vos compétences et votre expérience en relation avec les exigences du poste. Une candidature personnalisée et bien préparée augmentera vos chances de décrocher un entretien. Enfin, la préparation pour les entretiens est également essentielle. Renseignez-vous sur l'entreprise et le poste, pratiquez vos réponses aux questions d'entretien courantes et mettez en avant vos réalisations et vos compétences pertinentes. En suivant ces conseils et en utilisant des plateformes comme Tanitjobs , vous maximiserez vos chances de trouver un emploi correspondant à vos compétences et à vos aspirations professionnelles dans le contexte dynamique du marché du travail en Tunisie. Quel est le métier le mieux payé en Tunisie ?  Le secteur de la technologie est reconnu pour offrir parmi les salaires les plus élevés en Tunisie, ce qui en fait souvent un domaine très attractif pour les professionnels. L'importance croissante de la technologie dans presque tous les aspects de la vie et des affaires a conduit à une demande accrue pour des experts qualifiés dans divers domaines technologiques. Parmi ces professionnels, on trouve notamment les ingénieurs logiciels , les data scientists et les spécialistes en sécurité informatique . Les ingénieurs logiciels occupent une position centrale dans le secteur de la technologie. Leur rôle consiste à concevoir, développer, tester et maintenir des logiciels et des systèmes informatiques. Leurs responsabilités peuvent inclure la programmation, la conception de bases de données, le développement d'applications mobiles et bien plus encore. En raison de la demande constante pour des logiciels de haute qualité dans divers secteurs, les ingénieurs logiciels sont parmi les professionnels les mieux rémunérés en Tunisie. Les data scientists sont également très recherchés pour leurs compétences en analyse de données et en extraction d'informations précieuses à partir de grandes quantités de données. Avec la montée en puissance du Big Data, les entreprises cherchent des professionnels capables de comprendre et d'interpréter les données pour prendre des décisions éclairées. Les data scientists sont souvent bien rémunérés en raison de la rareté de leurs compétences et de leur capacité à transformer les données en insights précieux pour les entreprises. En outre, les spécialistes en sécurité informatique sont essentiels dans un monde où les menaces cybernétiques sont de plus en plus sophistiquées. Leur rôle consiste à protéger les systèmes informatiques, les réseaux et les données contre les attaques et les violations de sécurité. En raison de l'importance cruciale de la sécurité informatique pour les entreprises et les organisations gouvernementales, les spécialistes en sécurité informatique bénéficient souvent de salaires élevés et d'opportunités d'avancement professionnel. Il est important de noter que ces métiers offrent non seulement des salaires attractifs, mais aussi des possibilités d'avancement professionnel significatives. Les professionnels qui acquièrent de l'expérience et qui continuent à développer leurs compétences dans ces domaines sont souvent récompensés par des promotions, des augmentations de salaire et des opportunités de leadership au sein de leur organisation. En utilisant des plateformes spécialisées comme Tanitjobs , les professionnels de la technologie peuvent maximiser leurs chances de trouver des emplois correspondant à leurs compétences et à leurs aspirations professionnelles. Tanitjobs offre une multitude d'offres d'emploi dans le domaine de la technologie, permettant aux chercheurs d'emploi de se connecter avec des employeurs potentiels et de postuler à des postes adaptés à leurs profils. En intégrant Tanitjobs dans leur stratégie de recherche d'emploi, les professionnels peuvent accéder à un large éventail d'opportunités professionnelles et prendre leur carrière au prochain niveau. En conclusion, le secteur de la technologie en Tunisie offre des opportunités professionnelles attractives pour les ingénieurs logiciels, les data scientists et les spécialistes en sécurité informatique. Leur expertise est hautement valorisée dans un environnement où la technologie joue un rôle de plus en plus crucial dans la réussite des entreprises et des organisations. Les professionnels qui choisissent ces carrières peuvent s'attendre à des salaires compétitifs, des possibilités d'avancement et un impact significatif dans leur domaine d'expertise.  Quel travail paye bien en Tunisie ? Dans le paysage professionnel tunisien, plusieurs secteurs offrent des salaires compétitifs en dehors du domaine de la technologie. Ces secteurs comprennent les professions médicales, les métiers de l'ingénierie, les finances et les métiers du droit. Les professionnels expérimentés et hautement qualifiés dans ces domaines sont souvent bien rémunérés pour leur expertise et leur contribution à l'entreprise. Les professions médicales constituent l'un des secteurs les mieux rémunérés en Tunisie. Les médecins spécialistes, les chirurgiens, les dentistes et autres professionnels de la santé bénéficient de salaires compétitifs en raison de la nature essentielle de leurs services et de leur expertise médicale. Les domaines de la médecine comme la chirurgie plastique, la cardiologie et l'oncologie sont particulièrement bien rémunérés. De même, les métiers de l'ingénierie jouissent d'une forte demande sur le marché du travail tunisien. Les ingénieurs civils, électriques, mécaniques et informatiques sont hautement valorisés pour leur rôle crucial dans la conception, la construction et la maintenance des infrastructures et des systèmes. Leur expertise technique et leur capacité à résoudre des problèmes complexes sont récompensées par des salaires attrayants et des opportunités d'avancement professionnel. Les finances constituent un autre secteur où les salaires sont souvent compétitifs en Tunisie. Les professionnels de la finance, y compris les comptables, les analystes financiers et les gestionnaires de portefeuille, sont essentiels pour assurer la santé financière des entreprises et des organisations. Leur capacité à gérer efficacement les ressources financières et à fournir des conseils stratégiques est rémunérée à la hauteur de leur expertise. Enfin, les métiers du droit offrent également des perspectives de rémunération attrayantes en Tunisie. Les avocats, les juristes d'entreprise et les juges bénéficient souvent de salaires compétitifs en raison de la complexité et de l'importance des affaires juridiques dans un environnement commercial en évolution constante. Leur expertise dans l'interprétation et l'application des lois est hautement valorisée et récompensée par des rémunérations substantielles. Cependant, il est important de souligner que le secteur de la technologie reste l'un des domaines les plus lucratifs en Tunisie. Avec le développement rapide de l'industrie technologique dans le pays, le secteur de l'IT offre une multitude d'opportunités d'emploi bien rémunérées. Les professionnels de l'IT, qu'il s'agisse de développeurs de logiciels, d'administrateurs système, de gestionnaires de projets ou de spécialistes en cyber sécurité, sont constamment recherchés pour répondre à la demande croissante de solutions technologiques innovantes. En ce qui concerne les diplômes les plus recherchés, ceux qui correspondent aux besoins du marché du travail actuel sont privilégiés. Les diplômes en informatique, en génie informatique, en data science, en génie électrique et en commerce sont parmi les plus demandés en Tunisie. Cependant, il est important de noter que les compétences pratiques et l'expérience professionnelle sont souvent aussi valorisées que les diplômes académiques. Les professionnels qui peuvent démontrer une combinaison de connaissances théoriques et de compétences pratiques sont particulièrement recherchés sur le marché du travail tunisien. En résumé, outre les métiers de la technologie, les professions médicales, les métiers de l'ingénierie, les finances et les métiers du droit offrent des opportunités d'emploi bien rémunérées en Tunisie. Les professionnels hautement qualifiés et expérimentés dans ces domaines sont récompensés par des salaires compétitifs et des perspectives d'avancement professionnel intéressantes. En utilisant des plateformes de recherche d'emploi telles que Tanitjobs , les chercheurs d'emploi peuvent explorer une gamme diversifiée d'opportunités professionnelles dans ces secteurs et trouver des postes correspondant à leurs compétences et à leurs aspirations professionnelles. Quel est le projet le plus rentable en Tunisie ? Lorsqu'on considère le projet le plus rentable en Tunisie, plusieurs secteurs se démarquent en termes de perspectives de rentabilité. Bien que le projet le plus lucratif puisse varier en fonction des tendances économiques et des opportunités du marché, certains secteurs ont montré une rentabilité constante et des perspectives prometteuses dans le contexte tunisien. Parmi ces secteurs figurent notamment la technologie, le tourisme, l'agriculture et l'énergie renouvelable. Tout d'abord, le secteur de la technologie offre des possibilités de rentabilité significatives en Tunisie. Avec la croissance rapide de l'industrie technologique dans le pays, les investissements dans les startups technologiques, les services informatiques et les solutions logicielles ont le potentiel de générer des rendements substantiels. Les innovations technologiques dans des domaines tels que l'intelligence artificielle, l'Internet des objets et la cybersécurité offrent des opportunités de croissance et de rentabilité pour les entrepreneurs et les investisseurs. En outre, le secteur du tourisme reste un pilier important de l'économie tunisienne, offrant des possibilités de rentabilité aux investisseurs. Avec ses sites historiques, ses plages pittoresques et son patrimoine culturel riche, la Tunisie attire des millions de touristes chaque année. Les investissements dans l'hôtellerie, les voyages et le tourisme médical peuvent générer des rendements attractifs pour ceux qui cherchent à capitaliser sur l'industrie touristique dynamique du pays. Le secteur de l' agriculture est également un domaine où les opportunités de rentabilité sont nombreuses en Tunisie. Malgré ses défis, l'agriculture tunisienne bénéficie d'un climat favorable, de ressources naturelles abondantes et d'une main-d'œuvre qualifiée. Les investissements dans des projets agricoles innovants, tels que l'agriculture biologique, l'irrigation efficace et la culture de produits de niche, peuvent conduire à des rendements intéressants tout en contribuant à la sécurité alimentaire du pays. Enfin, le secteur de l' énergie renouvelable représente une opportunité de rentabilité croissante en Tunisie. Avec son climat ensoleillé et ses vastes étendues de terres désertiques, la Tunisie est bien positionnée pour tirer parti des sources d'énergie renouvelable telles que l'énergie solaire et éolienne. Les investissements dans des projets d'énergie solaire photovoltaïque, de parcs éoliens et de solutions de stockage d'énergie peuvent non seulement générer des rendements attractifs, mais aussi contribuer à la transition vers une économie plus verte et durable. Pour déterminer le projet le plus rentable en Tunisie, il est crucial de mener une analyse approfondie du marché, de comprendre les besoins des consommateurs et de s'associer à des experts du secteur. Les entrepreneurs et les investisseurs doivent évaluer attentivement les risques et les opportunités de chaque projet, ainsi que leur potentiel de rentabilité à long terme. En collaborant avec des professionnels du secteur et en restant attentifs aux évolutions du marché, il est possible d'identifier les projets les plus rentables et de maximiser les chances de succès financier. En conclusion, bien que le projet le plus rentable en Tunisie puisse varier en fonction des circonstances économiques et des tendances du marché, les secteurs de la technologie, du tourisme, de l'agriculture et de l'énergie renouvelable offrent généralement des perspectives prometteuses en termes de rentabilité. En investissant de manière stratégique et en s'engageant dans des projets innovants et durables, il est possible de réaliser des rendements attractifs tout en contribuant au développement économique et social du pays. Quelle est la formation la plus demandée ? Dans le contexte tunisien, l'évolution rapide du marché du travail a engendré une demande croissante pour certaines formations et compétences spécifiques. Identifier la formation la plus demandée en Tunisie est essentiel pour les individus cherchant à s'orienter vers des carrières prometteuses et en accord avec les besoins du marché. Actuellement, plusieurs domaines de formation sont particulièrement recherchés en raison de l'essor de l'économie numérique et de l'importance croissante de la technologie dans tous les secteurs. Parmi ces domaines, l'informatique, les sciences des données, la gestion de projet et le marketing digital se distinguent comme étant parmi les plus recherchés. Tout d'abord, les formations en informatique occupent une place de choix parmi les cursus les plus demandés en Tunisie. Avec la numérisation croissante de nombreux secteurs économiques, les professionnels de l'informatique sont de plus en plus sollicités pour développer, maintenir et sécuriser les systèmes d'information des entreprises. Les programmes de formation en informatique couvrent une gamme de disciplines, telles que le développement de logiciels, l'administration de réseaux, la sécurité informatique et la gestion de bases de données, offrant ainsi aux apprenants un large éventail de possibilités de carrière. Ensuite, les formations en sciences des données sont devenues de plus en plus populaires en Tunisie, en raison de la demande croissante pour des professionnels capables d'analyser et d'interpréter les données de manière efficace. Les entreprises recherchent activement des analystes de données et des scientifiques des données pour les aider à prendre des décisions éclairées basées sur des données factuelles. Les formations en sciences des données englobent des compétences telles que l'analyse statistique, l'apprentissage automatique, la visualisation des données et la modélisation prédictive, ce qui en fait un domaine attrayant pour ceux qui s'intéressent à l'analyse de données et à l'intelligence artificielle. Par ailleurs, la gestion de projet est une compétence hautement recherchée sur le marché du travail tunisien, où la capacité à planifier, coordonner et exécuter efficacement des projets est essentielle pour le succès organisationnel. Les formations en gestion de projet fournissent aux apprenants les connaissances et les compétences nécessaires pour gérer des projets de toutes tailles et dans tous les secteurs, en mettant l'accent sur la gestion des ressources, la communication, le suivi des progrès et la résolution des problèmes. Enfin, le marketing digital est un domaine de formation en plein essor en Tunisie, reflétant la transition des entreprises vers des stratégies de marketing en ligne et des canaux de communication numériques. Les professionnels du marketing digital sont chargés de créer et de mettre en œuvre des campagnes de marketing efficaces sur les plateformes en ligne, telles que les médias sociaux, les moteurs de recherche et les sites web. Les formations en marketing digital couvrent un large éventail de sujets, y compris le référencement, la publicité en ligne, l'analyse des données marketing et la gestion de la réputation en ligne. En ce qui concerne les métiers les plus en demande, ceux liés à l'intelligence artificielle, à l'informatique et à la business intelligence (BI) se démarquent comme étant parmi les plus recherchés en Tunisie. Les entreprises cherchent activement des professionnels qualifiés pour les aider à exploiter les données, à développer des solutions technologiques avancées et à rester compétitives sur le marché mondial. Les métiers émergents tels que les développeurs d'IA, les analystes de données et les experts en BI sont particulièrement recherchés pour leur capacité à transformer les données en insights stratégiques, aidant ainsi les entreprises à prendre des décisions plus éclairées et à anticiper les tendances du marché. En conclusion, pour les individus cherchant à se positionner sur le marché du travail tunisien, les formations en informatique, en sciences des données, en gestion de projet et en marketing digital offrent des perspectives de carrière prometteuses et répondent à une demande croissante pour des compétences spécialisées dans ces domaines. En se formant dans ces domaines et en acquérant les compétences nécessaires, les professionnels peuvent accéder à un large éventail d'opportunités d'emploi et contribuer au développement économique et technologique de la Tunisie.   Conclusion   Le marché du travail en Tunisie est une arène dynamique où les opportunités affluent pour ceux qui sont prêts à saisir les défis et à exploiter leur plein potentiel. Avec une économie en constante évolution et des industries diversifiées , le pays offre un éventail de carrières attrayantes pour les professionnels talentueux et motivés. Dans ce contexte mouvant, la compréhension des tendances du marché revêt une importance cruciale. Les secteurs émergents , tels que les technologies de l'information , la santé , l' ingénierie , le tourisme et l' agriculture , offrent des opportunités florissantes pour ceux qui possèdent les compétences requises. En analysant ces tendances et en adaptant leurs compétences et leurs qualifications en conséquence, les chercheurs d'emploi peuvent se positionner avantageusement sur le marché. Le développement continu des compétences est un impératif pour réussir dans ce paysage professionnel compétitif . Les professionnels qui investissent dans leur perfectionnement, en suivant des formations pertinentes , en acquérant de nouvelles compétences et en se tenant au courant des dernières avancées dans leur domaine sont mieux placés pour relever les défis du marché du travail tunisien . La recherche d'emploi nécessite également une approche agile et proactive . En exploitant les ressources disponibles, telles que les plateformes de recherche d'emploi en ligne comme Tanitjobs , en participant à des événements de réseautage et en explorant des opportunités non traditionnelles , les chercheurs d'emploi peuvent élargir leurs horizons et augmenter leurs chances de succès. Dans chaque secteur , des opportunités abondent pour ceux qui sont prêts à les saisir. Que ce soit dans les technologies de l'information , la médecine , l' ingénierie , le tourisme , l' agriculture ou tout autre domaine, la Tunisie offre un éventail d' opportunités pour ceux qui ont l' ambition et la détermination de réussir. Chaque secteur présente ses propres défis et ses propres récompenses , et il appartient à chaque individu de trouver la voie qui lui convient le mieux. En conclusion, le marché du travail en Tunisie est un terrain fertile pour ceux qui sont prêts à relever les défis et à saisir les opportunités qui se présentent. En comprenant les tendances du marché , en développant leurs compétences et en adoptant une approche proactive dans leur recherche d'emploi, les professionnels peuvent trouver leur place et réussir dans un secteur en constante évolution . Que ce soit dans les technologies de l'information , le domaine médical , l' ingénierie ou tout autre domaine, la Tunisie offre un environnement propice à une carrière enrichissante et réussie .    
  Présentation de la grande distribution en Tunisie Grande distribution et économie en Tunisie Expansion et avenir de la grande distribution en Tunisie Emploi de la grande distribution en Tunisie Le recrutement du personnel pour la grande distribution L’avenir de la grande distribution en Tunisie   Le secteur des magasins, supérettes et grandes surfaces spécialisées jouent un rôle important dans le développement économique d’un pays. Et ce malgré une conjoncture économique difficile comme la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs ou l’inflation. En Tunisie, la grande distribution a connu un changement de paysage depuis l’ouverture des hypermarchés carrefour et géant il y a plus d’une décennie. Depuis, certains supermarchés ont du mal à s’en sortir dans la concurrence déloyale du marché parallèle.Zoom sur la performance de ce secteur. Présentation de la grande distribution en Tunisie En Tunisie, 4 grandes enseignes de la grande distribution tiennent 20 %du commerce. Elles sont Géant, Carrefour, monoprix et Magasin général. La marque Monoprix qui a vu le jour en 1933 emploie 3 610 personnes réparties dans 87 magasins dans tout le territoire. Ses magasins implantés dans plusieurs villes des gouvernorats font l’objet de l’achat du groupe Mabrouk en 1995. La société cotée en bourse depuis mars 1995 se démarque par ses cadeaux et ses promotions allant jusqu’à moins de 85 % ainsi que le cash de 85 00 dinars pour le 85 ème anniversaire. Le Magasin général, quant à lui, affiche un résultat net bénéficiaire de 22,13 millions de dinars en 2017, une hausse de plus de 82 % comparée à l’année précédente. Le chiffre d’affaires de la société a connu aussi une augmentation de 2,12 % de 2016 à 2017. Il en est de même pour le résultat du groupe qui passe à 10,43 MD en 2017 contre 5,81 MD l’année précédente. Cette enseigne appartenant au groupes Bayahi et Poulina emploie 4 000 personnes. Elle est présente dans 91 points de vente. La cause de cette hausse de chiffre d’affaires du MG est le choix sur la vente des produits qui rapportent plus de marge que les autres. Elle adopte aussi une politique de prix très compétitifs en complément avec la vente des produits exclusifs. La marque réussit également à tirer son épingle au jeu en essayant de maîtriser ses stocks, ses marques et ses activités de vente au détail. Quant à Géant, cette enseigne est issue de l’association du groupe Mabrouk et du groupe français Casino. C’est d’ailleurs le plus grand hypermarché tunisien. Outre ses 12 000 m2 d’espace de vente, il possède une surface de réserves de 13 000 m2. Un autre hypermarché Géant sera aussi construit à la banlieue sud du Tunis. Enfin, la dernière enseigne Carrefour fondée en 2001 est une filiale du groupe CHABI. Elle exerce ses activités dans 3 secteurs de distribution : les hypermarchés Carrefour, les supermarchés Carrefour market et les supérettes carrefour express. Elle possède un réseau d’une quarantaine de supermarchés et de trentaine de supérettes, le tout au total de 74 magasins. Sa part dans le marché de la grande distribution est évaluée à 34 %.Un autre projet de création d’hypermarché Carrefour est également en cours de réalisation dans les régions du Sahel, pas loin de la ville de Sousse. Mentionnons aussi le dernier-venu du marché, la chaîne de hard-discount. L’Aziza devra être nommé parmi la grande distribution bien qu’elle refuse d’être catégorisée dans cette liste des grandes surfaces car elle se considère comme détaillant. Cette chaîne fondée en 2014 appartient au groupe SLAMA. Elle est constituée de 91 points de vente. Elle se spécialise dans la vente des prix bas et affiche un cumul de perte de 53 MD. Grande distribution et économie en Tunisie Les consommateurs, les salariés, les fournisseurs des denrées alimentaires et produits de consommation, le pouvoir public bénéficient tous de la grande distribution alimentaire. La présence de ces magasins permet d’accroître le pouvoir d’achat des consommateurs tout en créant des opportunités d’emplois. En Tunisie, ce secteur de grandes et moyennes surfaces bénéficie toujours de la prolongation de l’application d’un taux exceptionnel d’imposition directe de 25 % pour cette année 2019 alors qu’il enregistre déjà un bénéfice conséquent dû au décalage entre l’encaissement cash des ventes et le décaissement en différé des achats. Or, la grande distribution demande encore de passer le taux de l’impôt sur les sociétés de 36 % à 13,5 %. A noter que la hausse de l’impôt de 35 % des hypermarchés est reporté pour l’année prochaine afin d’assurer une stabilisation de l’inflation de 7,4 % jusqu’à la fin de l’année. L’Etat est conscient que l’application de cette augmentation de l’IS pourrait réduire les investissements et faire bénéficier en même temps le marché parallèle. Par ailleurs, le fait de réduire les droits de douane sur l’importation du beurre a causé aussi l’appréhension des députés de l’opposition à propos d’une manœuvre visant à entrainer une pénurie de ce produit de consommation afin de pouvoir en importer ensuite. Expansion et avenir de la grande distribution en Tunisie La population de la Tunisie est estimée à 11,16 millions en 2015. La population urbanisée est évaluée à 66% environ avec un taux de densité de 71, 5 habitants par km2. La majorité des centres d’affaires se trouvent au Grand Tunis. Et selon une étude, les habitants de ces régions sont les plus grands consommateurs des supermarchés et magasins de la grande distribution. Ils achètent 51 % de leurs produits alimentaires dans ces magasins. Cette tendance s’explique par l’amélioration du niveau de vie du citoyen et l’impact de la publicité. L’augmentation des revenus améliore le pouvoir d’achat des ménages. Du coup, le montant consacré à l’alimentation est plus important.La publicité commerciale exerce aussi une influence sur la consommation du consommateur. Par ailleurs, la libéralisation de l’économie tunisienne permet également de booster ce secteur. En effet, après une longue période axée sur le contrôle des prix, l’imposition des droits de douane élevé, et les restrictions des importations, la Tunisie a décidé d’adopter une autre politique. Cette dynamique de développement s’articule autour de l’ouverture aux échanges commerciales et à la libéralisation économique. Le fait d’opter pour la libéralisation de prix a permis d’apporter une meilleure visibilité des produits des entrepreneurs tout en attirant les investisseurs. Les producteurs peuvent également améliorer et diversifier leurs offres de produits que ce soit au niveau de la qualité ou du prix. L’avancée de la production agro-alimentaire locale est aussi l’un des facteurs favorisant le développement des enseignes. Car si l’industrie agro-alimentaire ne peut pas prendre en charge les besoins de la grande distribution, ces magasins devraient importer des produits, ce qui impacterait sur leur bénéfice. Emploi de la grande distribution en Tunisie Ce secteur ne ressemble pas aux autres car il continue toujours de recruter même en période de grande crise, la majorité des emplois avec des bas salaires. L’embauche dans ces magasins peut être en contrat à durée indéterminée, durée déterminée, ou à temps partiel et la plupart des recrutés sont des femmes. Des emplois comme responsables de secteurs, hôtesse de caisse, adjoint manager magasin, employé polyvalent, hôte d’accueil, employé libre-service,vendeur, employé libre-service rayon etc. sont disponibles. Les femmes et les étudiants sont les plus représentées dans les emplois à temps partiel et la majorité ont moins de 35 ans. Il y a également les emplois de cadres comme chargé de recrutement, comptable, responsable de ressources humaines ainsi que les métiers en entrepôt comme le livreur, préparateur de commandes et les personnels assurant la sécurité et le nettoyage du magasin.  Le recrutement du personnel pour la grande distribution Le recrutement du personnel pour la grande distribution est un processus essentiel pour garantir le bon fonctionnement des magasins et la satisfaction de la clientèle. Voici quelques étapes clés à considérer dans le processus de recrutement pour ce secteur : Identification des besoins en personnel : Analyser les besoins spécifiques de chaque département (caisse, rayon, logistique, service client, etc.) en fonction de la taille du magasin, des heures d'ouverture et de la demande prévue. Rédaction des offres d’emploi : Préparer des descriptions de poste claires et détaillées, mettant en évidence les responsabilités, les compétences nécessaires et les avantages offerts. Diffusez ces offres sur des plateformes d'emploi en ligne, sur le site de l'entreprise et dans les agences locales pour toucher un large public. Sélection des candidats : Trier les candidatures en fonction des critères préétablis. Les entretiens peuvent être menés par les responsables du recrutement, les gestionnaires de département et/ou les responsables des ressources humaines. Entretiens : Réaliser des entretiens pour évaluer les compétences, l'expérience professionnelle, la motivation et l'aptitude au travail en équipe. Assurez-vous que les candidats comprennent les exigences du secteur de la grande distribution, y compris la flexibilité des horaires et la capacité à travailler dans un environnement dynamique. Evaluation des compétences spécifiques : Pour des postes spécifiques, tels que la gestion des stocks, la manipulation des marchandises ou la caisse, réalisez des tests pratiques pour évaluer les compétences techniques. Vérification des références : Contactez les anciens employeurs ou les références professionnelles pour obtenir des informations sur le rendement antérieur du candidat. Formation : s’assurer de la mise en place d’un programme de formation pour les nouveaux employés, couvrant les procédures spécifiques du magasin, les politiques de l'entreprise et les compétences nécessaires à leur poste. Intégration : Faciliter l’intégration des nouveaux employés en leur fournissant un accueil chaleureux, des informations sur l’entreprise et une formation continue. Gestion de la flexibilité des horaires : La grande distribution implique souvent des horaires flexibles. Soyez transparent sur les attentes en matière d'horaires et offrez des solutions équitables pour la gestion du temps de travail. Communication continue : Etablissement d’un canal de communication ouvert pour que les employés puissent exprimer leurs préoccupations, poser des questions et s'impliquer dans l'amélioration continue. Le recrutement dans la grande distribution nécessite une approche structurée pour trouver des candidats adaptés aux besoins spécifiques du secteur, tout en assurant une intégration efficace et en fournissant une formation continue pour répondre aux exigences en constante évolution. En terme de de recrutement, les entreprises tunisienne ont eu l’habitude de compter sur la technologie web des plateformes d’emploi .   L’avenir de la grande distribution en Tunisie Prédire l'avenir d'un secteur spécifique comme la grande distribution dans un pays donné, y compris la Tunisie, peut être complexe en raison de divers facteurs, y compris l'économie, les tendances de consommation, les innovations technologiques et les changements sociaux. Cependant, on peut identifier certaines tendances générales qui peuvent influencer l'avenir de la grande distribution en Tunisie : Croissance économique : La croissance économique de la Tunisie jouerait un rôle clé dans le développement de la grande distribution. Une économie en croissance peut stimuler la demande des consommateurs et favoriser l'expansion du secteur. Urbanisation : L’urbanisation croissante peut entraîner une demande accrue de services de grande distribution dans les zones urbaines. Les modes de vie urbains peuvent encourager les consommateurs à préférer des solutions de commodité telles que les supermarchés et les hypermarchés. Changements démographique : Les évolutions démographiques, y compris la composition de la population et les tendances familiales, peuvent influencer les préférences des consommateurs et la demande de produits alimentaires et non alimentaires. Tendances de consommation : Les habitudes de consommation évoluent, avec une préférence croissante pour la qualité des produits, la durabilité et les produits locaux. Les détaillants qui s'adaptent à ces tendances peuvent prospérer. Technologie : L’adoption de la technologie, y compris le commerce électronique et les paiements numériques, peut remodeler la façon dont les consommateurs font leurs achats. Les détaillants qui intègrent avec succès ces technologies peuvent améliorer l'expérience client. Concurrence : L’ouverture du marché aux acteurs internationaux et la concurrence accrue entre les détaillants locaux peuvent façonner la dynamique du secteur. Les détaillants devront peut-être innover pour rester compétitifs. Durabilité : La sensibilisation croissante à la durabilité peut influencer les choix des consommateurs, conduisant les détaillants à adopter des pratiques plus durables et à offrir des produits respectueux de l'environnement. Réglementation : Les politiques gouvernementales et les réglementations en matière de commerce peuvent influencer le secteur de la grande distribution. Des politiques favorables peuvent stimuler la croissance, tandis que des réglementations restrictives peuvent poser des défis. Il est important pour les acteurs de la grande distribution en Tunisie de rester flexibles, de surveiller ces tendances et de s'adapter en conséquence. L'innovation, la compréhension des besoins des consommateurs locaux et la mise en œuvre de pratiques durables peuvent jouer un rôle clé dans le succès futur du secteur. Pour véhiculer certains produits moyennant de commande pour une catégorie de clientèle qui ont du mal à se déplacer à se rendre aux grandes surface pour se procurer se dont elles ont besoin, le secteur de la grande distribution a besoin de renforcer son activité en développant des partenariats avec des plateformes de livraison comme Uber .  
  La migration clandestine en Tunisie en chiffre La migration clandestine un combat permanent des forces maritimes Tunisiennes et étrangères Migration clandestine une lueur d’espoir ou une mort certaine ! Le chômage est la première cause de la migration clandestine en Tunisie Le danger de la migration clandestine des tunisiens en méditerranée Les actions entreprises par l'Italie pour contrecarrer les clandestins tunisiens en méditerranée   Nombreux sont les Tunisiens qui cherchent à échapper à la misère et qui débarquent en Italie ou aux autres pays européens en toute clandestinité. Or le pays d’accueil craint aussi pour leur sécurité, leur emploi et leur culture avec ce flux migratoire. La croissance économique faible, les persécutions politiques, les discriminations ethniques ou culturelles, l’étude etc. sont à l’origine de la migration internationale. Zoom sur ce phénomène et explication de ses causes. La migration clandestine en Tunisie en chiffre Selon les statistiques, le nombre des Tunisiens qui débarquent en Italie pendant l’année dernière environne 6 000 personnes. Tandis que 7 048 personnes n’ont pas réussi dans cette démarche et 2 125 personnes font l’objet d’un rapatriement du gouvernement italien. Comparé aux années précédentes,ce nombre affiche une hausse pour l’année dernière. Ces migrants clandestins risquent la disparition en mer et la répression des autorités italiennes comme l’interdiction de soins en mer. Leur première destination au bord de leur embarcation est l’île de Lampedusa à 80 km de la Tunisie. L’année 2017, les chiffres affichent 4500 personnes ayant quitté le pays à destination de l’Italie avec un pic de 3000 entre le mois de septembre et d’octobre. Sfax fait partie des premières régions de départ des migrants avec un pourcentage de 31 % suivi de Médenine 22 %.Pour l’année 2016, on compte dans les environs de 6 000 tunisiens migrants qui atteignent les côtes italiennes, sans compter ceux qui ont été rapatriés. Cette montée en flèche des immigrants s’explique par de nombreux motifs outre le contexte économique. En effet, elle est censée être due à l’accord entre le gouvernement italien et libyen à réprimer le flux des migrants à partir de la Lybie. Pourtant, les immigrés de Lybie sont des Africains de sud Sahara et de Bangladesh alors que les migrants tunisiens sont des ressortissants de la Tunisie. Certains pensent aussi que ces immigrants illégaux sont des terroristes et trafiquants de drogue ayant bénéficié d’une grâce présidentielle. Or, le président n’a octroyé de grâce qu’à des prisonniers ayant fait de délits mineurs.Certains pensent aussi que le gouvernement tunisien laisse passer ces émigrés afin de pouvoir obtenir plus d’argent du gouvernement italien pour contrôler le flux d’immigration.  La migration clandestine un combat permanent des forces maritimes Tunisiennes et étrangères Quoi qu’il en soit, l’interception de la migration clandestine fait partie des tâches de la garde maritime. Le mois de décembre dernier par exemple, elle a pu attraper un groupe d’une soixantaine d’immigrants clandestins qui tentent de traverser la Méditerranée pour joindre l’Italie. Les immigrants partaient depuis les côtes de Mahdia, dans la province du centre est du pays. L’année dernière, les gardes côtières ont intercepté aussi une embarcation de loisirs en train de chavirer au large de Zarzis avec une quinzaine d’individus qui ont essayé d’atteindre les côtes italiennes. La moitié de ces migrants sont des jeunes de 13 à 16 ans. La fin de l’année dernière, les gardes côtières ont également secouru une embarcation en panne au large de l’archipel de Kerkennah. La barque avait à son bord des ressortissants de pays d’Afrique subsaharienne qui tentaient de rejoindre l’Europe. En fait, ces migrants risquent non seulement l’interception des gardes des côtes mais aussi les naufrages meurtriers. Ce phénomène malheureux a causé la mort de 87 personnes le mois de juin de l’année dernière. Malgré cela, le nombre des tunisiens qui cherchent à s’échapper à la misère et à avoir un perspective d’avenir plus luisant en se rendant illégalement en Europe ne cesse d’augmenter. Le pays est d’ailleurs considéré comme l’un des points de passage permettant de migrer vers l’Italie et de rejoindre par la suite l’Europe. Les Africains subsahariens figurent aussi parmi les migrants clandestins dans la méditerranée.De l’autre côté, le nombre des migrants africains qui arrivent au pays augmente également depuis l’année 2 000. Migration clandestine une lueur d’espoir ou une mort certaine ! La migration est un phénomène multifactoriel. En Somalie par exemple, les habitants quittent leur pays pour fuir la guerre, les conflits ethniques et la famine. Le fait que les pays de l’Union européenne ferment leurs frontières aux migrants n’empêchent pas ces derniers de tenter leur chance. La Tunisie n’est pas le seul concerné par ce phénomène. Les migrants Algériens cherchent également à atteindre la Sardaigne, une petite île au nord-est du canal de Sicile, au départ du Sidi Halem. Certains nombre d’entre eux sont aussi portés disparus en mer, d’autres arrivent à bon port mais sont arrêtés par les garde-côtes italiennes. Les statistiques italiennes enregistrent 300 000 à 500 000 migrants non réguliers. Pour l’année dernière, elles affichent plus de 21 700 personnes débarquant en Italie par mer. La Tunisie fait partie du premier rang des pays émettant plus des migrants clandestins suivis des Erythréens et des ressortissants de la Nigéria. Pourtant le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés a indiqué que le taux des personnes ayant trouvé la mort lors de la traversée de la Méditerranée a connu une hausse. Au cours de l’année 2017, ce taux est de 1/29 au premier trimestre 2017 contre 1/8 au dernier trimestre 2018. Les ONG italiennes ont indiqué aussi que 1/5 des migrants clandestins libyens sont disparus dans la bleue. Et devant les mesures restrictives du gouvernement italien sur la fermeture des ports aux ONG et aux bateaux qui viennent en secours aux immigrants, ces derniers n’ont pas baissé les bras. Ils ont déniché des nouvelles routes via Espagne. Ce sont notamment les Algériens qui arrivent illégalement sur les côtes espagnoles. Et ces émigrés sont prêts à tout pour partir en Europe quels que soit le prix à payer. A noter que ces personnes peuvent dépenser entre 3 000 à 7 000 dinars pour cette aventure dangereuse.  Le chômage est la première cause de la migration clandestine en Tunisie Les autorités disent que la migration illégale est un acte suicidaire car se jeter à la mer dans une embarcation présente beaucoup de risques pour la vie des migrants. Mais il s’agit aussi d’un acte illégal qui pourrait encourir des sanctions pénales. Pour la Tunisie, les causes de ce flux migratoire sont le pessimisme sur la situation actuelle du pays et le chômage. Cela provient du déséquilibre entre les régions, le manque d’opportunités et surtout le taux de chômage important dans certains gouvernorats. L’Europe est considérée comme l’Eldorado où l’herbe est plus verte et où l’on peut gagner de l’argent plus facilement.Les diplômés cherchent ainsi tous les moyens de bénéficier d’une bourse ou d’un stage en Europe afin du sortir du pays. Quant aux personnes n’ayant pas de diplômes mais qui rêvent d’une meilleure vie, elles préfèrent partir à la mer au risque et péril de leur vie.Le mal-être des jeunes tunisiens augmente avec la dégradation de la situation économique. Chez les chômeurs diplômés, le taux alarmant de chômage de 30 % est un facteur les poussant à traverser la Méditerranée. Or, il faut noter que ces clandestins ne perçoivent que des salaires de misère dû à leur situation irrégulière. Ces sans-papiers camouflent aussi pour éviter le contrôle des polices qui peuvent les expulser. Bref, pour la Tunisie, l’un des moyens permettant de restreindre ce flux migratoire est l’octroi des perspectives d’emploi aux jeunes.   Le danger de la migration clandestine des tunisiens en méditerranée. La migration clandestine des Tunisiens en Méditerranée présente divers dangers, tant pour les migrants eux-mêmes que pour les autorités chargées de gérer ces flux migratoires. Voici quelques-uns des risques et des défis associés à cette situation : Dangers en mer : Les migrants clandestins empruntent souvent des embarcations de fortune surchargées et peu sûres pour traverser la Méditerranée. Ces voyages périlleux augmentent le risque de naufrages, de noyades et d'autres accidents en mer, en particulier lorsque les conditions météorologiques sont mauvaises. Exploitation par des passeurs : Les migrants peuvent devenir vulnérables à l'exploitation de la part de réseaux de passeurs qui leur font payer des sommes considérables pour faciliter leur traversée. Ces passeurs peuvent souvent traiter les migrants de manière inhumaine et les exposer à des conditions dangereuses. Violation des lois nationales et internationales : La migration clandestine implique souvent une violation des lois nationales et internationales sur l'immigration. Les migrants peuvent être confrontés à des sanctions légales et être renvoyés dans leur pays d'origine. Problèmes de sécurité et de gestion des frontières : Les flux migratoires clandestins posent des défis importants en termes de sécurité et de gestion des frontières pour les pays de destination. Ils peuvent entraîner une pression sur les ressources et nécessiter des mesures renforcées pour empêcher l'entrée illégale. Tension sociale et politiques : La migration clandestine peut susciter des tensions sociales et politiques, tant au sein des pays d'origine que de destination. Les préoccupations liées à l'emploi, aux ressources, à la sécurité et à l'intégration peuvent contribuer à des tensions entre les communautés locales et les migrants. Risque sanitaire : Les voyages clandestins exposent souvent les migrants à des conditions sanitaires précaires. Les situations de surpeuplement à bord des embarcations peuvent favoriser la propagation de maladies, et les migrants peuvent avoir un accès limité aux soins médicaux. Défis pour les systèmes d’asile : Les flux migratoires clandestins peuvent exercer une pression sur les systèmes d'asile des pays de destination. La gestion des demandes d'asile, la protection des droits des demandeurs et la recherche de solutions durables deviennent des défis majeurs. Il est important de reconnaître que la migration clandestine est souvent motivée par des facteurs complexes tels que la recherche de meilleures opportunités économiques, la fuite de conflits, la persécution ou d'autres conditions difficiles dans le pays d'origine. La réponse aux défis associés à la migration clandestine nécessite une approche globale, comprenant des efforts diplomatiques, des mesures de développement, et une coopération internationale pour aborder les causes profondes de ces déplacements. C’est un peu le rôle des agences de communication qui devront communiquer l’information à travers des actions de sensibilisation sur le net en faisant recours à la publication d’articles sur des magazine en ligne.   Les actions entreprises par l'Italie pour contrecarrer les clandestins tunisiens en méditerranée L'Italie et d'autres pays méditerranéens faisaient face à des défis liés à la migration, notamment des départs de migrants clandestins depuis la Tunisie. Voici quelques-unes des actions que l'Italie avait entreprises pour faire face à cette situation : Opération navales et patrouilles frontalières : L’Italie a déployé des navires de la marine et des patrouilles le long de sa côte pour détecter et intercepter les embarcations transportant des migrants. Ces opérations avaient pour objectif d'empêcher les traversées illégales et de sauver des vies en cas de situations dangereuses en mer. Coopération internationale : L’Italie a cherché à renforcer la coopération avec d'autres pays de la région méditerranéenne, notamment la Tunisie. Cela inclut la coordination des efforts pour lutter contre les réseaux de passeurs et améliorer la sécurité des frontières. Accord bilatéraux : L’Italie a négocié des accords bilatéraux avec la Tunisie pour mieux gérer les flux migratoires. Cela peut inclure des discussions sur la réadmission des migrants, la sécurité des frontières et la coopération en matière de renseignement. Renforcement des contrôles aux frontières : L’Italie a renforcé les contrôles aux frontières terrestres et maritimes pour empêcher l'entrée illégale de migrants. Cela peut impliquer l'utilisation de technologies de surveillance et d'autres mesures de sécurité. Soutien aux opérations de sauvegarde : L’Italie a continué de participer à des opérations de sauvetage en mer pour secourir les migrants en détresse. Cependant, cela s'accompagne souvent de défis liés à la gestion des personnes secourues et à la répartition équitable de la responsabilité entre les pays de l'Union européenne. Développement de politiques migratoires : L’Italie a travaillé sur le développement de politiques migratoires visant à gérer les flux migratoires de manière plus globale, notamment en renforçant les mécanismes de demande d'asile et en coopérant avec d'autres pays de l'Union européenne. Il est essentiel de noter que la gestion des migrations en Méditerranée reste un défi complexe et en constante évolution. Toute l’actualité se trouve sur les sites web officiels et via des applications mobiles reliées à des journaux électroniques.
  Présentation de la situation économique de la Tunisie La classe moyenne en voie de disparition dans le pays Pourquoi la classe moyenne régresse ? Le chômage, une des causes de l’effondrement de la classe moyenne tunisienne Le pouvoir d’achat en baisse et la hausse des prix en période de crise financière Le marché parallèle et le danger qu’il présente pour l’Etat   Depuis 2011, la Tunisie passe par une période de crise économique due au manque d’une vraie relance économique. En effet, ces dernières années ont été marquées par le creusement de déficits, la hausse de la dette intérieure et extérieure du pays ainsi qu’une suite de réformes molles. Cette situation impacte sur la situation de la classe moyenne, estimée en voie de disparition. On enregistre une régression de 50 % de nombre des ménages appartenant à cette classe. La dépréciation du dinar, la dévalorisation des diplômes de l’enseignement supérieur, le chômage figurent parmi les causes expliquant l’impossibilité de la classe moyenne à maintenir leur rang social. Présentation de la situation économique de la Tunisie L’économie tunisienne reste vulnérable dans cette période de post-révolution. D’un côté, les statistiques affichent une forte croissance du niveau historique de la dette publique. D’un autre, il y a la hausse des chiffres de tourisme ainsi que le taux de croissance de 2,8 % au deuxième trimestre 2018 contre 2,5 % au premier trimestre. Or, il faut dire que ce taux de croissance ne se soucie pas de la dévaluation du dinar et de la hausse des prix sur le marché. En fait, l’économie tunisienne ne s’est pas encore engagée dans les réformes envisagées qui restent encore pour le moment dans le domaine de statistiques et projets. Pour débloquer le prêt FMI utile afin de décoller l’économie, il faut d’abord assainir les finances publiques. Mais actuellement, la situation économique n’est pas encore la priorité dans la politique de l’Etat.Ces changements économiques ont fini par affecter lourdement la population notamment la classe moyenne. La classe moyenne en voie de disparition dans le pays Cette catégorie de la population se situe entre la classe riche et la classe la plus défavorisée. Selon l’INS, elle recense les personnes dépensant entre 1090 et 6 540 dinar tunisien au prix de la valeur du dinar en 2000. Ce groupe socioprofessionnel regroupe les fonctionnaires, les salariés privés, les petits chefs d’entreprise... En 1984, cette classe moyenne représentait 84 % des habitants contre moins de 50 % en 2018. Les principaux indicateurs de leur régression sont la perte du pouvoir d’achat, le compte débiteur, la privation de viande sur la table, l’endettement des ménages… 15 % des salariés n’ont plus de reste à vivre avant le 15 du mois, 40 % des salariés ont un compte dans le rouge. L’endettement de la classe moyenne est évalué à 260 % selon le propos du président de l’ITES. En fait, entre 1970 à 1980, cette classe a bénéficié des mesures économiques et fiscales avantageuses qui les ont permis à accéder à l’investissement. Pendant ces années, les ménages dans la classe moyenne pouvaient faire des économies, acquérir un logement, accéder aux loisirs… Mais la crise de pétrole de 1979 ainsi que le plan d’ajustement structurel de 1986 portant sur la tendance libérale économique ont déstabilisé cet équilibre. La libéralisation a bloqué l’ascension sociale de bas de l’échelle à la couche moyenne et a accentué les inégalités et l’affaiblissement du corps de la classe du milieu. Un petit nombre se sont montés vers la classe supérieure suite à la valorisation de leurs activités dans l’assurance, informatique, ingénierie, communication etc. Mais la majorité des salariés sont tirés vers le bas, et elle souffre d’une baisse de pouvoir d’achat et d’un fort endettement. Les ouvriers, les agriculteurs subissent aussi le même sort. Les bénéficiaires du capitalisme tunisien depuis 1986 sont une classe à part. En fait, une forte croissance de l’économie conduit à une mobilité sociale montante mais, à l’inverse, une faible croissance mène au démantèlement de certaines couches sociales. Pourquoi la classe moyenne régresse ? Les causes de cette régression de la couche sociale moyenne en Tunisie sont multiples. En premier lieu, elle souffre de l’état fragile des statuts de salariés. Et ce depuis la mise en vigueur du PAS et du libéralisme dans les années 90. La révision du code de travail de l’année 2006 facilite aussi le recrutement et le licenciement des salariés. Elle favorise même les contrats à durée déterminée dans les sociétés offshores. Les stages payés par un salaire de misère pendant quelques mois aux diplômés avant de les chasser pour embaucher un autre diplômé est un exemple de l’exploitation de la main-d’œuvre. Or, la baisse de salaire, le manque d’opportunité favorisent l’inégalité sociale. L’autre cause de cette baisse du pouvoir d’achat de la couche moyenne, c’est aussi la hausse du chômage des diplômés universitaires et ceux de l’enseignement supérieur. En 2009, les chômeurs diplômés étaient au nombre de 135 000,au deuxième trimestre 2018, ils sont au nombre de 218 000. Les personnes les plus frappées par le chômage sont celles dans la classe moyenne. L’éducation et les diplômes universitaires sont remis en cause. La troisième cause évoquée, c’est la baisse de la valeur du dinar qui impacte sur le pouvoir d’achat des ménages. Ce qui fait que les hauts cadres se rétrogradent progressivement à la place de la classe moyenne. Cette dernière devra migrer vers les petites villes afin de survivre et de mieux faire face à la hausse du prix du loyer et des vivres au risque de se priver des avantages comme l’accès aux loisirs, l’accès à la santé… Certes, le gouvernement essaie de limiter l’effet néfaste de l’inflation en effectuant des opérations de contrôle de prix et en luttant contre la contrebande, mais cela ne permet pas d’améliorer le pouvoir d’achat de la couche moyenne. Les produits subventionnés comme l’huile végétale manquent sur le marché. Ces produits se trouvent dans les circuits de spéculation. On enregistre également une pénurie de lait et des œufs. Cette situation continue à se dégrader pour l’année 2019 si l’Etat ne prend pas de mesures adéquates. Le chômage, une des causes de l’effondrement de la classe moyenne tunisienne Le taux de chômage en 2017 est estimé à 15,5 %. Cette année au deuxième semestre, elle a reculé de 15,4 %. Chez les diplômés de l’enseignement supérieur, on enregistre un recul de 2 points passant de 31,3 %en 2017 contre 29,3 %cette année selon les résultats de l’enquête nationale sur l’emploi. 50,2 % de la population en âge de travailler sont représentées par les femmes. Mais seulement 28,2 % d’entre elles sont comptés dans la population active. La gent féminine diplômée de l’enseignement supérieur est plus touchée que la population masculine. En effet, le taux d’inactivité est deux fois plus important chez les femmes que chez les hommes. Cela pourrait s’expliquer par le fait que 67 % des diplômés de l’enseignement supérieur en 2015 sont des femmes. L’institut national de statistiques (INS) indique aussi que les filles diplômées de l’enseignement supérieur en chômage au cours du premier trimestre est de 38,7 % contre 18% pour les garçons. Or pour contourner la régression sociale, il faut travailler. Le déclassement social et l’appauvrissement sont en effet imputables au chômage. Si dans un foyer d’une classe moyenne, personne ne travaille, ils n’ont évidemment pas de quoi se nourrir convenablement. Et ils finiront aussi par ne pas avoir de quoi à payer un toit décent. Bref, le gouvernement devrait promouvoir l’investissement et le nombre d’emplois créés dans les secteurs de l’industrie, de services, de l’informatique etc. pour lutter contre ce phénomène de régression de la classe moyenne. Le pouvoir d’achat en baisse et la hausse des prix en période de crise financière La baisse du pouvoir d'achat et la hausse des prix sont des phénomènes souvent associés aux périodes de crise financière. Plusieurs facteurs peuvent contribuer à cette situation, et ils interagissent de manière complexe. Voici quelques explications générales :   Inflation : En période de crise financière, l'inflation peut augmenter. L'inflation est la hausse générale des prix des biens et services. Lorsque les prix augmentent, le pouvoir d'achat diminue, car la même somme d'argent ne peut acheter qu'une quantité moindre de biens et services. Chômage : Les crises financières s'accompagnent souvent d'une augmentation du chômage. La perte d'emplois ou l'incertitude liée à l'emploi peuvent réduire les revenus disponibles, ce qui diminue également le pouvoir d'achat. Restriction de la monnaie : Dans certaines circonstances, les crises financières peuvent entraîner une dépréciation de la monnaie nationale. Cela peut rendre les biens importés plus coûteux, contribuant ainsi à la hausse des prix. Restrictions budgétaires : En période de crise, les gouvernements peuvent être contraints de mettre en œuvre des mesures d'austérité, réduisant les dépenses publiques. Cela peut affecter les services publics et les transferts sociaux, entraînant une diminution du pouvoir d'achat pour certaines catégories de la population. Crédit restreint : Pendant les crises financières, les institutions financières peuvent être plus réticentes à accorder des prêts. Cela peut rendre plus difficile l'accès au crédit pour les ménages et les entreprises, limitant ainsi leur capacité à consommer et à investir. Fluctuations des marchés : Les marchés financiers peuvent être volatils pendant les crises, ce qui peut affecter la valeur des actifs détenus par les individus, comme les actions ou l'immobilier. Une diminution de la valeur de ces actifs peut réduire la richesse des ménages, influençant ainsi leur pouvoir d'achat. Psychologie économique : Pendant les périodes de crise, la confiance des consommateurs peut être affectée, ce qui peut les amener à réduire leurs dépenses. Une baisse de la demande peut entraîner une baisse de la production, mais également une pression à la hausse sur les prix pour certains biens et services. Il est important de noter que l'impact sur le pouvoir d'achat peut varier en fonction des politiques gouvernementales, de la nature de la crise et d'autres facteurs spécifiques à chaque économie. Les réponses politiques, telles que les mesures de relance économique et les politiques monétaires, peuvent jouer un rôle dans l'atténuation de ces effets. Même en période de crise la fonction publique en Tunisie lance des concours nationaux pour les nouveaux diplômés.  Le marché parallèle et le danger qu’il présente pour l’Etat Le marché parallèle, également connu sous le nom de marché noir ou marché informel, fait référence à un secteur économique qui échappe aux régulations et aux contrôles gouvernementaux. Ce marché peut inclure des activités telles que la contrebande, l'évasion fiscale, la contrefaçon, la vente de produits contrefaits, et d'autres transactions qui ne sont pas déclarées aux autorités compétentes. Voici quelques dangers potentiels que le marché parallèle présente pour l'État : Evasion fiscale : Les activités du marché parallèle sont souvent caractérisées par la non-déclaration des revenus et la fraude fiscale. Cela prive l'État de recettes fiscales importantes, ce qui peut compromettre sa capacité à financer des programmes publics, tels que l'éducation, la santé et les infrastructures. Perte de contrôle : Le marché parallèle opère en dehors des canaux officiels de régulation, ce qui signifie que l'État a moins de contrôle sur ces activités. Cela peut conduire à des distorsions économiques, à la perte de transparence et à des difficultés pour l'État à surveiller et à réglementer l'économie de manière efficace. Déstabilisation de l’économie : Les activités du marché parallèle peuvent perturber l'équilibre économique en créant des distorsions, en favorisant la corruption et en sapant la concurrence équitable. Cela peut entraîner une déstabilisation économique et affaiblir la confiance dans les institutions gouvernementales. Impact sur la croissance économique : Lorsque les activités économiques importantes se déplacent vers le marché parallèle, la croissance économique peut être entravée. Les investissements légitimes peuvent être réduits, et les entreprises formelles peuvent être désavantagées par rapport à celles qui opèrent dans l'ombre. Sécurité publique : Certains produits du marché parallèle peuvent représenter des risques pour la santé et la sécurité publiques. Par exemple, la contrefaçon de médicaments, les produits alimentaires non réglementés, ou d'autres biens de consommation peuvent être dangereux pour les citoyens. Dégradation des institutions : La prolifération du marché parallèle peut contribuer à la corruption en encourageant des pratiques illégales et en sapant la confiance dans les institutions gouvernementales. Cela peut avoir des répercussions à long terme sur la gouvernance et la stabilité politique. Perte de confiance : Lorsque les citoyens perçoivent que l'État n'a pas le contrôle sur l'économie, cela peut entraîner une perte de confiance dans les institutions gouvernementales. Cela peut avoir des conséquences néfastes sur la stabilité sociale et politique. Pour faire face à ces dangers, le gouvernement tunisien peut mettre en œuvre des mesures visant à réduire le marché parallèle, telles que des réformes fiscales, une amélioration de l'application des lois, une promotion de la transparence économique, et des incitations pour encourager la formalisation des activités économiques. Le gouvernement devrait développer ses relations internationales sur le plan économique à travers les chambres de commerce afin de mettre en avant les produits tunisiens afin de cibler de nouveaux marchés.
  Economie et potentialités à Hammamet Infrastructures de base et équipements collectifs Emploi à Hammamet Les secteurs d’activité les plus marquants en terme d’emploi L’opportunité d’exporter les produits artisanaux de Hammamet     Cette ville tunisienne située à 60 km de la capitale à l’entrée du Cap Bon compte plus de 73200 habitants en 2014.Son histoire remonte à l’Antiquité à l’époque des Carthaginois. En ces temps-là, la région est reconnue pour ses plaines fertiles puis elle devient une colonie honoraire sous la domination romaine. Avec la conquête arabe, la ville est laissée en décrépitude. A partir du 12 à 13è siècle, une agglomération s’est formée autour du château du Cap d’El Hammamat. Les habitants ont construit les remparts et la Grand Mosquée mais la prospérité économique n’a pas fait long feu. La ville est ensuite conquise par les Ottomans qui se sont mélangés avec les femmes de pays pour produire des Kouloughlis. Puis, l’arrivée en masse des réfugiés andalous d’Espagne au début du 17 e siècle permet de relancer l’arboriculture pendant 2 siècles. Mais les autochtones souffrent de prélèvement fiscal de bey au cours du 19 e siècle. Sous le protectorat français, la ville se dote des infrastructures urbaines modernes comme le chemin de fer, l’électricité, le téléphone et attire des célébrités comme Guy de Maupassant, Oscar Wilde, Jean Cocteau, Sophia Loren, … Un richissime roumain, Georges Sebastien y a même construit une villa de rêve qu’il a vendue ensuite à l’Etat. Aujourd’hui, cette villa est transformée en centre culturel et Hammamet est devenue une ville touristique qui regorge de belles maisons. Economie et potentialités à Hammamet Cette délégation appartenant au gouvernorat de Nabeul possède une densité de 2034 habitants par km2 en 2014. Elle pourrait attirer plus de touristes par ses infrastructures hôtelières de première qualité, sa médina bien préservée, sa station balnéaire, son festival international et son site archéologique. Au passage, on enregistre une cinquantaine d’hôtels dans cette veille. L’offre touristique inclue le tourisme balnéaire, les hôtels de haute de gamme, le tourisme culturel et médical. Cependant, les séries d’attentat des années passées ont perturbé le développement du secteur et la valorisation de ces atouts. A cela s’ajoute le manque de dynamisme des autorités et de la municipalité. Malgré ce manque de promotion du tourisme culturel dans la région, la ville enregistre une augmentation de 28,3 % de touristes pour le premier trimestre de l’année 2017 et une augmentation de 19 % par rapport à l’année dernière pour le premier trimestre de cette année 2018. Les Français se trouvent en première liste des touristes venus visiter le pays, suivi par les Russes, les Algériens et les autres nationalités. Les recettes de tourisme ont aussi augmenté de 46 % par rapport à l’année 2017 selon la statistique du ministère de tourisme et de l’artisanat. Par ailleurs, concernant le tourisme médical, on retrouve un ephad qui compte une douzaine de résidents Français souffrants d’Alzheimer et de maladie de Parkinson dans la ville. Cette institution d’hébergement propose aussi des soins de pieds ou de mains ou de coiffure aux seniors hébergés. Les familles de ces personnes viennent leur rendre visite lorsque les résidents le souhaitent plusieurs fois dans l’année. Outre le tourisme, la culture d’agrumes constitue également l’occupation de la population. Aussi, dans les années 2010-2011, la banque Tunisienne de solidarité et l’association de développement à Hammamet ont apporté le financement nécessaire pour une centaine de projets productifs du quartier « Nabka ». Une cinquantaine de projets bénéficie aussi de fonds de roulement dans le cadre du programme de réhabilitation des quartiers populaires situés dans les contours de la capitale. Infrastructures de base et équipements collectifs Beaucoup d’études ont été menés à propos de l’aménagement sur le plan régional. Ces études permettent d’identifier les problématiques de la région au niveau de l’infrastructure afin d’optimiser sa compétitivité. Outre ces études, il y a aussi les projets dont le plus récent est la mise en place d’un train électrique express reliant Hammamet et Haouaria. Celui-ci va beaucoup aider la population dans leurs déplacements sur le territoire de Cap bon. On peut citer également le projet de Mrazga qui tourne autour de l’instauration d’un périmètre d’intervention foncière et à l’élaboration d’un plan d’aménagement. Le site est un lieu important de tourisme international et de la villégiature. Le programme concerne 40 000 habitants et s’articule autour de la réalisation de logement, de conduite de l’eau potable et du gaz de la ville, et d’espaces verts avec un parc urbain, une zone d’animation etc. Notons qu’Hammamet possède un centre culturel international, les remparts de vieux fort, un parc d’attraction, le musée Dar Khadija, la médina, deux parcours de golf. Ces parcours se situent à travers les collines et la forêt et sont accessibles à tous les niveaux. La région possède également le port Yasmine qui propose une surveillance continue 24 h/24 et des équipements de haute qualité. Le plan d’eau de ce port peut accueillir plus de 700 navires de plaisance d’une longueur pouvant atteindre jusqu’à 110 m. Ces embarcations peuvent amarrer au quai ou sur plateformes flottantes ou fixes. Ce port s’est vu attribuer le label Pavillon en faveur de l’environnement de qualité bleu depuis 2006, mais depuis ces deux dernières années, elle n’a plus obtenu ce label. Le nombre des bateaux qui amarrent dans ce port a connu aussi une baisse depuis 2010. Cette situation est due à l’instabilité politique mais depuis le premier trimestre de cette année 2018, les réservations ont repris. Dans les années après la révolution, le quartier « Nabka » a bénéficié aussi d’une amélioration au niveau de l’infrastructure de base comme le bitumage des routes, la mise en place des réseaux d’éclairage public et des réseaux d’évacuation d’eaux. 10 000 habitants dans ce quartier ont ainsi obtenu du financement pour les équipements collectifs. Concernant les centres de formation, cette délégation n’est pas en reste comparée aux autres car il possède entre autres un centre de formation touristique. Cet établissement permet de former les jeunes qui souhaitent exercer un métier dans l’hôtellerie et le tourisme. Il prépare les étudiants à l’obtention du CAP, du BTP et de BTS. En effet, le secteur touristique est le plus porteur dans cette région et il offre aussi de nombreux emplois aux jeunes. Emploi à Hammamet Les emplois disponibles dans cette délégation concernent notamment le secteur hôtelier et les agences de voyage. On retient entre autres les postes comme le directeur d’hôtel, directeur de restauration, chef de cuisine, chef pâtissier, chef réception, veilleur de nuit, animateur DJ, assistante de direction, hygiéniste, kinésithérapeute, croissantier, conseillère de voyage etc. Mais il existe également d’autres profils recherchés par les entreprises comme agent immobilier, informaticien etc. Parmi les hôtels construits pendant cette année qui ont recruté un personnel nombreux, on peut citer « The Orangers Garden ». Cette propriété possède 288 chambres avec une quinzaine de suites et une quinzaine de bungalows. Cet hôtel installé au bord de la plage dispose aussi de 3 piscines dont une couverte, un spa, un hamman, un sauna, salle de fitness et des bars. Avec l’arrivée des vacances, les hôtels recrutent souvent des candidats attirés par cet univers touristique et de restauration. Ceux qui bénéficient d’une formation dans ce secteur et qui peuvent parler couramment une ou deux langues étrangères peuvent décrocher un job dans ce secteur. Sur le site tanitjob, vous pouvez faire de recherche pour trouver un emploi correspondant à votre profil dans cette région.   Les secteurs d’activité les plus marquants en terme d’emploi Hammamet est principalement connue pour son industrie touristique. Le secteur du tourisme est donc l'un des plus importants en termes d'emploi dans cette région. Voici quelques-uns des secteurs d'activité les plus marquants en termes d'emploi à Hammamet : Tourisme et Hôtellerie : Hammamet : est une destination touristique populaire en raison de ses plages, de ses stations balnéaires, de son histoire et de sa culture. Ainsi, de nombreux emplois sont créés dans les hôtels, les restaurants, les agences de voyages, les attractions touristiques, etc. Commerce : Avec l'afflux de touristes, le secteur du commerce prospère également. Les boutiques, les marchés locaux et les commerces en général offrent des opportunités d'emploi dans la vente, la gestion de magasins, et d'autres domaines connexes. Services : Les services aux entreprises et aux particuliers jouent un rôle important. Cela inclut les services de transport, les agences de location de voitures, les services de guide touristique, etc. Arts et Culture : Hammamet a également une scène artistique et culturelle dynamique. Les événements culturels, les festivals, les galeries d'art et les métiers d'art peuvent créer des opportunités d'emploi dans ce secteur. Construction et immobilier : Le développement continu de l'infrastructure touristique peut stimuler le secteur de la construction et de l'immobilier, créant des emplois dans la construction, la maintenance, et la gestion immobilière. Services de Santé et de bien-être : Avec l'augmentation du tourisme, la demande de services de santé et de bien-être peut également augmenter, notamment dans les spas, les centres de bien-être et les services médicaux. Education : secteur de l'éducation peut également jouer un rôle, car il peut y avoir une demande pour des programmes de formation liés au tourisme et à l'hospitalité. Il est important de noter que la diversification économique peut également jouer un rôle dans le développement de nouveaux secteurs d'emploi. Cependant, le tourisme reste généralement le moteur économique principal de Hammamet. Les opportunités d'emploi peuvent varier en fonction des tendances économiques, des politiques locales et des investissements dans la région. Il est à noter que certains cabinets de recrutement ont réussi à satisfaire la demande de plusieurs entreprises à Hammamet en terme de recrutement de tout type de profils.   L’opportunité d’exporter les produits artisanaux de Hammamet L’exportation de produits artisanaux de Hammamet peut représenter une opportunité intéressante, à condition de prendre en compte divers facteurs. Voici quelques points à considérer pour évaluer cette opportunité : Produits Artisanaux Uniques : Hammamet est réputée pour son artisanat, notamment des produits tels que la poterie, les tapis, les bijoux, et d'autres articles faits à la main. Si ces produits sont uniques et représentatifs de la culture locale, ils peuvent susciter l'intérêt sur les marchés internationaux. Demande internationale : Avant d'exporter, il est crucial de faire des recherches sur la demande internationale pour les produits artisanaux. Les tendances du marché mondial, les préférences des consommateurs et les opportunités d'affaires peuvent influencer la décision d'exporter. Normes de qualité et de certification : Les marchés internationaux ont souvent des normes de qualité et des exigences de certification spécifiques. Assurez-vous que les produits artisanaux de Hammamet répondent à ces normes pour faciliter l'exportation. Réseaux de distribution : Etablir des partenariats avec des distributeurs locaux ou des agents commerciaux dans les pays cibles peut faciliter la distribution des produits artisanaux. Une stratégie de marketing efficace est également essentielle pour promouvoir les produits. Commerce équitable et développement durable : De plus en plus de consommateurs internationaux sont sensibles aux pratiques de commerce équitable et de développement durable. Mettre en avant ces aspects peut renforcer l'attrait des produits artisanaux. Concurrence internationale : Analysez la concurrence sur les marchés internationaux. Identifiez les forces et les faiblesses des produits artisanaux de Hammamet par rapport à d'autres offres sur le marché mondial. Accord commerciaux : Explorez les accords commerciaux entre la Tunisie et les pays cibles. Certains accords peuvent faciliter le commerce et réduire les barrières tarifaires. Logistique et coûts : Evaluez les coûts logistiques liés à l'exportation, y compris l'emballage, le transport et les droits de douane. Optimisez ces processus pour rendre les produits compétitifs sur le marché international. Promotion de la marque Hammamet : Mettez en avant la marque Hammamet dans la stratégie de marketing. Le caractère authentique et culturel peut être un atout majeur pour attirer les consommateurs. Soutien Gouvernemental : Explorez les programmes d'exportation et le soutien gouvernemental disponible pour les entreprises locales qui cherchent à exporter. Avant de s'engager dans l'exportation, il est recommandé de mener une étude de marché approfondie et, si possible, de consulter des experts en commerce international pour maximiser les chances de réussite. Il faudra également réaliser un portail web qui permettra de mettre en avant tous les produits artisanaux de Hammamet. Un portail web qui devrait être réalisé par une agence de communication ayant une assez bonne expérience dans la réalisation des sites web et le référencement.
Présentation du domaine informatique en Tunisie Quels sont les métiers du domaine informatique qu’on peut exercer ? L’évolution du secteur informatique en Tunisie L’exode massif des informaticiens tunisiens Le recrutement des ingénieurs informatiques tunisiens à travers les cabinets de recrutement Les plateformes d’emploi spécialisées dans le recrutement des ingénieurs informatiques La crise économique, la dévaluation du dinar et le manque d’opportunités d’emplois ont attisé la tendance de fuite des cerveaux tunisiens. Les enseignants-chercheurs, les ingénieurs en informatique, les médecins sont les plus attirés par les meilleures perspectives d’avenir à l’étranger. Certains jeunes étudiants préfèrent aussi choisir une filière qui leur permet de continuer leur étude après le bac en Europe. Le point sur ce phénomène d’immigration de compétences ainsi que l’évolution du secteur numérique en Tunisie. Présentation du domaine informatique en Tunisie Le secteur de technologies des informations prend une part importante dans l’économie Tunisienne car il contribue plus de 11 % du PIB du pays pour l’année dernière. En effet, selon les statistiques, on compte pas moins de 8 000 ingénieurs informatiques sortants chaque année. Ils sont diplômés d’une cinquantaine d’universités publics et privés et la moitié de ces diplômés sont des femmes. Or il y a deux décennies, la Tunisie ne pouvait former que 200 ingénieurs TIC par an. Cette hausse est due à l’accroissement des écoles d’ingénieurs et instituts supérieurs qui proposent des formations dans les filières informatiques. Le TIC suscite l’engouement des jeunes car il n’exige qu’un faible investissement de temps et d’argent comparé à d’autres filières comme la médecine qui requiert des années d’études et un achat de matériel coûteux. Le nombre important des ingénieurs impacte sur le coût de la production qui devient très compétitif par rapport à l’Europe et à l’Afrique. Cela a permis aussi de réduire le nombre des chômeurs car certains de ces sortants de grandes écoles ont monté des startups. En guise d’info, ce secteur représente 31 % des importations en industrie et 9% de la population travaillent dans ce domaine. Les 1200 entreprises qui exploitent ce secteur de numérique sont réparties en sociétés de sous-traitance de développement, les sociétés éditrices de logiciels et revendeurs de matériels informatiques (serveurs, PC, tablettes…) ainsi que les prestataires de services informatiques. Quels sont les métiers du domaine informatique qu’on peut exercer ? De nombreux secteurs d’activités ont besoin des compétences informatiques. D’autant plus qu’avec l’apparition de blockchain, l’intelligence artificielle, le big data, les objets connectés, la réalité virtuelle etc. les spécialistes en informatiques sont de plus en plus convoités. En France, les ingénieurs tunisiens sont recrutés à cause de leur brillance et leur maîtrise des algorithmes. Mais ce ne sont pas uniquement les profils ingénieurs (développement en sécurité informatique, études et création logiciels, informatique industrielle etc.) qui offrent de prometteuses possibilités d’emplois. Des nombreuses autres compétences plus pointues comme les experts du cloud, les data scientists, les ingénieurs VR, et les développeurs de systèmes embarqués ont aussi émergé. Ces derniers développent des logiciels utilisés dans le transport. Les entreprises dans le secteur des technologies des informations recrutent également d’autres profils comme le webmaster, le développeur de site internet, le chef de projet, le traffic analyst, l’architecte réseau, le webdesigner, l’intégrateur, le modérateur de forum, le game designer, de graphiste multimédia, le responsable de l’affiliation…La liste est non exhaustive. Les fonctions éditoriales comme les web journalistes, les rédacteurs et des fonctions commerciales comme les conseillers en ligne sont également disponibles. Dans les grandes entreprises, chaque employé a ses propres fonctions mais dans les start-up, la polyvalence est quelquefois de rigueur. Ainsi, un intégrateur peut à la fois être webdesigner ou chef de projet multimédia. Le sens de la communication, la réactivité, le sens de la responsabilité et la capacité à travailler en équipe sont les premières qualités requises à ces profils. D’autres postes exigent le sens artistique, la rapidité, le dynamisme, le profil touche-à-tout… L’obtention d’un BTS ou d’un DUT en informatique, en réseaux et communication ou multimédia sont le minima de qualifications requises pour exercer ces fonctions. L’évolution du secteur informatique en Tunisie Malgré la part représentée par le TIC dans le PIB du pays, les exportations de services ne suffisent pas encore à atténuer le taux de chômage. En général, ces services sont réduits aux domaines de télécommunication, de centre d’appels et de la poste alors qu’ils doivent s’étendre beaucoup plus sur les services en ingénierie informatique (SSII). Or, ce secteur est très porteur dû à la compétitivité de la Tunisie et l’expansion de la demande mondiale. Le développement des logiciels, l’externalisation du TIC semble être des segments de marché très restreint comparé aux segments de revente de matériels informatiques et de télécommunication. Pourtant l’existence des technopoles informatiques, la bonne formation des ingénieurs tunisiens, et la faiblesse des salaires comparés aux pays européens constituent des atouts avantageux de l’offshore. Concernant ce marché offshore, il est encore dominé par le service de BPO (business process outsourcing) alors qu’il devrait offrir des services de forte valeur ajoutée pour un meilleur retour sur investissement. Les efforts soutenus par l’Etat dans la création des centaines de filières de formation en TIC ont aussi apporté leurs fruits. Ce qui a fait augmenter le pourcentage des diplômés dans le numérique et a aussi doublé le nombre des employés. Cependant, cette expansion n’a qu’un effet modeste sur la résorption du chômage de l’enseignement supérieur. Par ailleurs, le rapport de la banque mondiale a indiqué que la majorité des entreprises TIC en Tunisie ont moins de 50 salariés. Seules 11 % de ces structures ont plus de 700 employés. Les entreprises publiques sont ainsi réticentes à recourir à une société locale pour fournir des prestations. Ainsi, la stratégie de Tunisie digitale 2018 consiste à augmenter le nombre d’emplois et les recettes d’exportation. Par ailleurs, concernant la sécurité de l’espace cybernétique, le pays tient le 40 ème rang dans le classement mondial. Les autorités ont indiqué que la sécurisation des données des institutions majeures du pays encourage l’investissement et elles ne ménagent pas leurs efforts dans cette voie. Quoi qu’il en soit, on ne peut pas s’empêcher de s’inquiéter sur la fuite des compétences des professionnels de l’informatique. L’exode massif des informaticiens tunisiens Le nombre des élites tunisiens qui partent pour faire carrière à l’étranger ne cesse d’augmenter. Ce phénomène préoccupe la société car cela est considéré comme une perte de hauts potentiels. C’est le secteur de l’ingéniorat qui est le plus touché par cet exode. Les causes en sont nombreuses. Il y a d’abord la dégringolade du dinar, la crise économique qui perdure après la révolution. Il y a également les conditions de salaire peu satisfaisantes et l’absence de valorisation des diplômés. Selon la statistique émise par le Doyen de l’Ordre des ingénieurs tunisiens, on recense environ 2 500 ingénieurs qui ont ainsi préféré migrer à l’étranger. Ce chiffre comprend toutes les spécialités (TIC, agro-alimentaire, énergie renouvelable…). Cet exode a fini par impacter sur l’équilibre entre l’offre et la demande du pays. Certains ne s’inquiètent pas car la mobilité est une tendance dans les pays Africains mais du moment que cela pourrait entraver la dynamique du pays, il est tout de même temps de soigner la plaie. Pour ce, l’Ordre vise à former des cadres de haut niveau qui peuvent contribuer au développement économique du pays surtout dans les secteurs les plus recherchés. Il conseille ainsi la mise en place de réforme dans les pôles technologiques afin que les jeunes élites puissent investir leur compétence dans des projets de recherche à forte valeur ajoutée.   Le recrutement des ingénieurs informatiques tunisiens à travers les cabinets de recrutement Le recrutement des ingénieurs informatiques tunisiens à travers les cabinets de recrutement est une pratique courante dans le secteur de l'informatique en Tunisie, tout comme dans de nombreux autres pays. Les cabinets de recrutement sont des entreprises spécialisées dans la recherche et la sélection de candidats qualifiés pour des postes vacants chez des entreprises clientes. Voici quelques points à considérer en ce qui concerne le recrutement des ingénieurs informatiques tunisiens à travers ces cabinets : Offre d'emploi : Les cabinets de recrutement publient régulièrement des offres d'emploi pour des postes d'ingénieurs informatiques. Ces offres sont souvent variées, couvrant différents domaines tels que le développement logiciel, la gestion de projet, la sécurité informatique, l'administration système, etc. Sélection et présélection : Les cabinets de recrutement effectuent une présélection des candidats en fonction des compétences requises par l'entreprise cliente. Ils peuvent mener des entretiens, des tests techniques, et vérifier les références pour s'assurer que les candidats correspondent au profil recherché. Collaboration avec les entreprises : Les cabinets de recrutement collaborent avec un large éventail d'entreprises, des startups aux grandes entreprises multinationales. Ils travaillent en étroite collaboration avec leurs clients pour comprendre leurs besoins en matière de recrutement et leur culture d'entreprise. Accompagnement des candidats : Les cabinets de recrutement offrent souvent un accompagnement aux candidats, notamment des conseils sur la préparation des entretiens, la négociation salariale et la transition vers le nouvel emploi. Confidentialité : Les cabinets de recrutement sont soumis à des règles strictes de confidentialité pour protéger à la fois les intérêts de l'entreprise cliente et la vie privée des candidats. Frais de recrutement : Les cabinets de recrutement facturent généralement des frais pour leurs services, qui sont payés par l'entreprise cliente. Les candidats ne paient généralement rien pour être pris en compte dans le processus de recrutement. Il est important pour les candidats de veiller à choisir des cabinets de recrutement fiables et réputés. De plus, les ingénieurs informatiques tunisiens peuvent également chercher des opportunités d'emploi directement via des plateformes de recherche d'emploi en ligne, des sites web d'entreprises, ou en utilisant leur réseau professionnel. Le choix de la méthode de recherche d'emploi dépendra des préférences individuelles et des objectifs de carrière. Plusieurs cabinets de recrutement en Tunisie sont spécialistes dans le recrutement des ingénieurs informatiques pour le compte des entreprises en Tunisie.   Les plateformes d’emploi spécialisées dans le recrutement des ingénieurs informatiques Il existe plusieurs plateformes d'emploi spécialisées dans le recrutement d'ingénieurs informatiques. Ces plateformes se concentrent sur les offres d'emploi et les opportunités de carrière dans le domaine de l'informatique. Voici quelques-unes des plateformes populaires que les ingénieurs informatiques peuvent utiliser pour trouver des emplois dans leur domaine : Linkedin : LinkedIn est un réseau social professionnel qui propose un grand nombre d'offres d'emploi pour les ingénieurs informatiques. Vous pouvez créer un profil professionnel, suivre des entreprises et des recruteurs, et postuler à des emplois directement sur la plateforme. Glassdoor : Glassdoor est une plateforme qui offre des informations sur les entreprises, y compris des avis d'employés, des salaires, et des offres d'emploi. Les ingénieurs informatiques peuvent rechercher des emplois, lire des avis sur les entreprises et avoir accès à des informations utiles pour leur recherche d'emploi. Stack Overflow Jobs : Stack Overflow, une communauté en ligne pour les développeurs, propose également une section d'offres d'emploi. Les ingénieurs informatiques peuvent rechercher des emplois, afficher des emplois correspondant à leurs compétences techniques et postuler à des offres. GitHub Jobs : GitHub, une plateforme de développement de logiciels, propose une section d'offres d'emploi où les entreprises publient des opportunités de développement et d'ingénierie informatique. Dice : Dice est une plateforme spécialisée dans les emplois technologiques. Les ingénieurs informatiques peuvent y rechercher des offres d'emploi et consulter des informations sur les tendances du marché de l'emploi dans le domaine de la technologie. AngelList : AngelList se concentre sur les startups et les entreprises en phase de croissance. Les ingénieurs informatiques intéressés par des opportunités dans le secteur des startups peuvent trouver de nombreuses offres d'emploi sur cette plateforme. Monster : Monster est une plateforme de recherche d'emploi généraliste, mais elle propose également de nombreuses offres d'emploi dans le domaine de l'informatique. Les ingénieurs informatiques peuvent y trouver des postes correspondant à leur expertise. Indeed : Indeed est un moteur de recherche d'emploi qui agrège des offres d'emploi à partir de diverses sources, y compris des entreprises, des cabinets de recrutement, et d'autres sites web. Les ingénieurs informatiques peuvent y effectuer des recherches ciblées. SimplyHired : SimplyHired est un autre moteur de recherche d'emploi qui regroupe des offres d'emploi provenant de différentes sources. Il propose également des emplois dans le domaine de l'informatique. CareerBuilder : CareerBuilder est une autre plateforme de recherche d'emploi généraliste qui propose des offres d'emploi pour les ingénieurs informatiques. Les ingénieurs informatiques peuvent utiliser ces plateformes pour rechercher des emplois, créer des profils en ligne, postuler à des postes, et établir des connexions professionnelles dans le domaine de l'informatique. Il est recommandé de personnaliser son profil et de suivre les meilleures pratiques de recherche d'emploi pour augmenter ses chances de succès. Les anciennes plateformes d’emploi en Tunisie sont aussi considérées comme étant un meilleurs recours aux cabinets de recrutement utilisés pour trouver les bons profils spécialisés en développement informatiques.      
    Le secteur touristique et le secteur public La filière de plante aromatique et médicinale Le secteur de l’oléiculture La médecine et le secteur de la santé en Tunisie Le métier des ingénieurs du secteur du génie civil en Tunisie En conclusion   Bon nombre de Tunisiens venant de différentes classes sociales ont de plus en plus d’accès à l’éducation universitaire. Certains d’entre eux ont même l’avantage de poursuivre leurs études en Europe. Cette situation se répercute directement sur la main-d’œuvre. Elle tend de plus en plus à se qualifier. Ce qui entraîne une baisse du taux de recrutement au niveau de plusieurs secteurs car l’offre d’emploi ne satisfait pas les nombreuses demandes de presque un million de sans emplois. Cela s’applique surtout dans le domaine de ressources humaines, de l’enseignement ou dans le secteur de médecine. Néanmoins certains secteurs génèrent encore beaucoup de revenus et peuvent même se permettre d’embaucher des expatriés. Tour d’horizon sur les métiers de filières les plus rémunératrices dans ce pays situé sur les rives de la Méditerranée. Le secteur touristique et le secteur public L’économie tunisienne dépend largement du secteur de tourisme qui emploie beaucoup de salariés. Des étrangers occupent d’ailleurs des postes de gérant ou de directeur dans des complexes hôteliers internationales dans le pays. Tandis que les Tunisiens diplômés sont recrutés par les hôtels locaux. Le tourisme constitue la principale rentrée d’argent du pays bien que le secteur nécessite encore d’être développé et diversifié. Si après l’indépendance, les grands secteurs publics promettaient un avenir professionnel intéressant pour les nouveaux diplômés, les choses ont évolué. En effet, depuis la crise d’administration dans le pays, nombreux sortants universitaires se tournent vers la filière privée comme le tourisme. Mais malgré cela, les étudiants sortant des instituts supérieurs à l’étranger ont plus de chances de trouver un emploi dans le secteur public que ceux sortant des universités locales. Presque la moitié de ceux qui ont des diplômes scientifiques à l’étranger arrivent en effet à décrocher un emploi auprès du ministère de l’enseignement secondaire ou supérieur. Cela inclut par exemple les sortants de la filière gestion ou des sciences médicales ou techniques. La filière scientifique présente ainsi une intégration plus facile dans le secteur public surtout pour ceux qui ont poursuivis leurs études à l’étranger. Ces derniers jugent convenable leur situation car ils arrivent à se stabiliser plus rapidement que les autres. En plus, ils se déclarent satisfaits de l’adéquation de leur activité à leur niveau de diplôme et de spécialité. Cette situation met en évidence l’écart aujourd’hui en Tunisie sur l’insertion dans les différents secteurs considérés porteurs. Selon les chiffres, 7,5% des diplômés scientifiques sont au chômage contre 25 % pour ceux qui ont un diplôme en sciences humaines et sociales et en lettres. Or le paradoxe réside dans le fait que les quarts des personnes sans emploi sont des diplômés universitaires qui disposent des diplômes qui leur permettent uniquement de s’intégrer dans le secteur public. Ce qui explique le problème du chômage et l’écart qui existe en Tunisie dans les différents secteurs professionnels. Quoi qu’il en soit, l’intégration dans la filière publique constitue une situation stable et avantageuse comparée aux métiers privés. La filière de plante aromatique et médicinale Cette filière s’articule autour de la transformation des végétaux en eaux florales ou en huiles essentielles. Ce secteur à forte valeur ajoutée commence aussi à occuper une place non négligeable dans l’économie du pays. Le secteur manque de main-d’œuvre qualifié or elle attire les capitaux des habitants locaux ou des étrangers .Cependant, son exploitation nécessite encore beaucoup d’optimisation. Sa différence avec les autres filières c’est qu’elle engage beaucoup d’intervenants comme les agriculteurs, les herboristes, les négociants. Ceux qui s’occupent de conditionnement des aromes, de leur transformation sont également dans la chaine. Sans oublier les laboratoires pharmaceutiques et les sociétés qui vont écouler les cosmétiques. Enfin, il y a également les exportateurs car une bonne partie des produits sont exportés. Les chiffres indiquent que la plante aromatique et médicinale constitue 0,8% environ de la production agricole et 1% dans le taux de l’exportation. Ce qui est encore minime mais la filière permet d’employer 0,9% des journées de travail présenté dans la filière agricole. La superficie de culture de plante aromatique dans le pays est estimée à 4500 ha environ 6 ans passés. 1400 ha sont répartis dans une culture de plante médicinale et le reste dans les condiments. Cette superficie plus que décuplé comparée aux années précédentes. En effet, les plantes aromatique et médicinale occupaient seulement 750 ha en 2007. Les Tunisiens cultivent notamment de cumin, du fenouil, de coriandre et de carvi. Ces deux derniers sont les plus cultivés. L’exploitation de l’huile de romarin, des eaux de fleurs d’orangers, des fleurs de roses, de néroli et de myrte fait également partie de cette filière porteuse. 160 000 ha sont utilisés pour cette exploitation de romarin alors que les nappes qu’on peut exploiter environnent 340 000 ha. Cela est dû à l’insuffisance de main-d’œuvre qui se charge de la collecte de la plante. Il y a également la hausse du prix de l’exploitation de nappes. A noter que l’exportation d’huiles essentielles et des eaux florales de la Tunisie de l’année 2011 atteint 27 MDT. Tandis que l’importation est autour de 7,3 %DT pour cette même période. Ce qui constitue un montant moins élevé que les exportations. Les pays comme l’Allemagne, la France, Maroc, Chine, L’Egypte, l’Indonésie etc. figurent parmi les fournisseurs du pays. Ces produits sont vendus sous une forme sèche, fraîche, en huiles essentielles ou en graines. Cette filière est porteuse car la demande autour de celle-ci ne cesse de s’accroître. L’usage en est nombreux. On utilise les plantes aromatiques non seulement pour la cosmétique et la parfumerie mais aussi dans le repas et le traitement médicinal. Son utilité dans la fabrication de pesticides ouvre aussi une opportunité de marché pour ces produits. Les besoins mondiaux de ces produits est de 1,5 milliard de dollars environ. Le Hong Kong, l’Allemagne et l’Amérique constituent les 3 premiers producteurs de plantes aromatiques et médicinales du monde. Les avantages de la Tunisie, c’est sa compétence dans la distillation, de la diversité de ses produits mais également de leur coût. Mais le problème se situe au niveau de l’amélioration du système d’exploitation. Il y a également l’absence d’une politique de tarif et la prévalence des petits agriculteurs. Le secteur de l’oléiculture Cette filière gagne également du terrain car il représente 60 % des exploitations d’agriculture en Tunisie. Cette culture constitue 10 % des exportations de la Tunisie. Le pays figure d’ailleurs au deuxième rang mondial d’exportateur d’huile d’olive en 2015 . Les bienfaits des plantes aromatiques et médicinales les ont permis de percer le marché. Il en est de même pour l’or vert. L’exportation de la Tunisie pendant ces 5 dernières années est dans l’ordre de 157 000 tonnes par an. Le pic important se situe dans les années 2014 à 2015 alors que l’année précédente, la production a connu une baisse non négligeable. La France, les Etats-Unis, l’Allemagne, l’Italie sont les principaux clients de la Tunisie.   La médecine et le secteur de la santé en Tunisie La médecine et le secteur de la santé en Tunisie ont connu des avancées significatives au cours des dernières décennies. La Tunisie dispose d'un système de santé relativement solide et d'un corps médical qualifié. En Tunisie, la médecine est pratiquée à la fois dans le secteur public et privé. Le système de santé public est financé par l'État et fournit des services de santé gratuits ou à faible coût pour les citoyens tunisiens. En Tunisie, Les établissements de santé publics comprennent des hôpitaux, des centres de santé de base et des dispensaires. Le secteur privé de la santé est également présent, offrant une gamme de services médicaux payants, souvent considérés comme étant de meilleure qualité et offrant des délais d'attente plus courts. La Tunisie est réputée pour la qualité de ses professionnels de la santé, notamment les médecins, les infirmiers et les spécialistes médicaux. Le pays dispose de plusieurs établissements d'enseignement supérieur qui forment des étudiants en médecine et en sciences de la santé. Les diplômes délivrés par ces institutions sont reconnus internationalement. Les spécialités médicales disponibles en Tunisie couvrent un large éventail de domaines, tels que la cardiologie, la chirurgie, l'obstétrique et la gynécologie, la neurologie, la pédiatrie, l'oncologie, l'ophtalmologie, l'orthopédie, etc. Les professionnels de la santé tunisiens sont souvent à la pointe des avancées médicales et utilisent des technologies de pointe dans le diagnostic et le traitement des maladies. En outre, la Tunisie est également devenue une destination populaire pour le tourisme médical. De nombreux patients étrangers, notamment d'Europe, viennent en Tunisie pour bénéficier de soins médicaux à des coûts relativement bas par rapport à leurs pays d'origine. Les cliniques et les hôpitaux privés offrent des services spécialisés dans des domaines tels que la chirurgie esthétique, la procréation médicalement assistée, la chirurgie bariatrique, etc. Cependant, malgré les avancées réalisées, le secteur de la santé en Tunisie est confronté à des défis. Certains de ces défis comprennent l'inégalité d'accès aux services de santé entre les zones rurales et urbaines, la disponibilité limitée de certains médicaments et équipements médicaux, ainsi que la nécessité d'améliorer la gestion des maladies chroniques. Le gouvernement tunisien a pris des mesures pour relever ces défis, en augmentant les investissements dans les infrastructures de santé, en renforçant les ressources médicales dans les régions rurales, en améliorant la disponibilité des médicaments et en mettant en place des programmes de sensibilisation pour promouvoir la prévention des maladies. Le secteur privé notamment des Entreprises IT ont lancé des plateformes web mettant en avant les médecins généralistes et spécialistes avec leurs contacts, ainsi ils seront trouvé facilement par le citoyen tunisien pour les contacter en vue d’une consultation.   Le métier des ingénieurs du secteur du génie civil en Tunisie Le métier des ingénieurs du secteur du génie civil en Tunisie est essentiel pour le développement des infrastructures du pays, y compris la construction de routes, de ponts, de bâtiments, de barrages, de systèmes de drainage, d'installations de traitement des eaux, etc. Les ingénieurs civils jouent un rôle clé dans la conception, la planification, la construction, la gestion et la maintenance de ces infrastructures. Le Tunisie, pour exercer en tant qu'ingénieur du génie civil, il est généralement nécessaire d'obtenir un diplôme d'ingénieur en génie civil délivré par une université ou une école d'ingénieurs reconnue. La formation comprend des cours théoriques et pratiques couvrant différents aspects du génie civil, tels que la mécanique des sols, la construction en béton armé, la géotechnique, la gestion de projet, la conception structurale, etc. Une fois diplômés, les ingénieurs civils en Tunisie peuvent travailler dans divers domaines et pour différentes entités. Ils peuvent être employés par le gouvernement, les entreprises de construction, les bureaux d'études techniques, les entreprises de conseil en ingénierie ou travailler en tant qu'indépendants. Les responsabilités des ingénieurs civils en Tunisie peuvent varier en fonction de leur domaine d'expertise et de leur niveau d'expérience. Voici quelques-unes de leurs tâches principales :   Conception et planification : Les ingénieurs civils participent à la conception et à la planification des projets d'infrastructure, en utilisant des logiciels de modélisation et de conception assistée par ordinateur (CAO) pour créer des plans et des schémas détaillés. Gestion de projet : Ils supervisent et coordonnent les différentes phases d'un projet, de la planification initiale à la construction et à la livraison finale. Cela implique la gestion des ressources, des délais, des coûts et des équipes de travail. Construction et supervision : Les ingénieurs civils supervisent la construction sur le terrain, s'assurant que les plans sont suivis correctement, que les normes de sécurité sont respectées et que la qualité des travaux est maintenue. Evaluation des structures : Ils effectuent des évaluations de la stabilité et de la durabilité des structures existantes, identifiant les problèmes potentiels et recommandant des solutions appropriées pour les réparations ou la rénovation. Gestion des ressources en eau : Certains ingénieurs civils se spécialisent dans la gestion des ressources en eau, travaillant sur des projets tels que la conception de réseaux de distribution d'eau, les systèmes de drainage, les stations de traitement des eaux, etc. Il est important de noter que les profils d’ingénieurs en génie civil sont très sollicités pour la réalisation des grands projets de l’Etat, ils sont même très recherchés par les cabinets de recrutement pour des projets à l’étranger notamment en Afrique subsaharienne. En conclusion Les études scientifiques à l’étranger constituent les premières filières porteuses en Tunisie. Les diplômés scientifiques de l’Europe ne sont pas touchés par la dévalorisation qui concerne les instituts supérieurs, les écoles d’ingénieurs et les Universités. Les mains d’œuvres qualifiées dans la plante aromatique et médicinale et dans l’oléiculture constituent également des filières porteuses dans la recherche d’emploi.
    La situation  actuelle du marche de l’emploi en Tunisie Le rôle du contexte politique dans l'emploi en Tunisie Le rôle des cabinets de recrutement face au chômage et l'employabilité La recherche d'emploi sur linkedin et sur les plateformes web En conclusion   Après 60 ans d’indépendance, l’amélioration du marché de l’emploi en Tunisie est encore un défi que le gouvernement aurait à relever. Chaque année, de nouveaux chômeurs viennent gonfler le nombre de sans emplois qui atteint actuellement la barre de 800 000 , soit 15,6 % de la population. Les quart de ces chômeurs sont des diplômés de l’enseignement supérieur. Ce taux de chômage conséquent datant du deuxième trimestre de l’année 2016 n’est pas constant car  ce lourd constat s’empire d’année en année. Les causes en sont nombreuses : mauvaise gestion ou organisation inefficace des administrateurs de l’Etat, manque de stratégie de développement rigoureux, inadéquation de l’offre d’emploi par rapport à la demande, investissement insuffisants des opérateurs nationaux ou internationaux, corruption etc. Décryptage.   La situation  actuelle du marche de l’emploi en Tunisie En faisant un retour en arrière, on peut statuer que les époques Bourguibiennes ont pu instaurer un héritage en matière de fondement de l’Etat. Pendant un certain temps, la population a pu assister à une économie mixte où l’Etat investissait avec les acteurs privés dans la création de l’emploi par le biais d’un projet commun. Mais cette politique a été abandonnée et le contrôle de l’Etat est actuellement axé vers le libéralisme économique tourné vers l’ UE . Pour l’info, l’investissement européen a atteint 1,4 milliards de dollars en 2011 mais on déplore que ces investissements se concentrent  plus  sur les secteurs de production que sur la création d’emplois. Le libéralisme incontrôlé est ainsi la source de la pénurie de l’économie tunisienne. Ce dernier entraîne à son tour la crise du chômage. Cette absence de stratégie de promotion de l’économie est à l’origine de la majorité des chômeurs en Tunisie dont le quarts sont des diplômés universitaires. La révolution a encore envenimé la situation car 140 000 personnes ont perdu leurs emplois à la suite du changement politique. L’Etat a créé ensuite  100 000 emplois dans le secteur administratif. Mais il en reste 40 000 personnes qui sont en quête d’emplois dans les journalisme , dans les sites de recherche etc. Certains de ces chômeurs ont été sans emploi depuis plus de 5 ans. Ils se sont inscrits auprès des bureaux d’emplois et de placement. Ils se sont constitués un réseau afin d’entrer en relation avec les personnes susceptibles de leur proposer un emploi, mais les efforts sont souvent infructueux. On dénombre 400 000 personnes dans cette catégorie. Elle regroupe des personnes âgées de 40 à 55 ans et qui ne disposent pas de spécialisation ou de qualification professionnelle. A ce chiffre s’ajoute chaque année quelque 100 000 jeunes qui souhaitent entrer dans la vie professionnelle. La moitié de ces demandeurs d’emplois sont des diplômés universitaires. La croissance du PIB a permis 45% de ces diplômés en quête d’emplois de trouver un travail et ce, indépendamment du contexte économique. Mais le reste  de ces chômeurs passent  encore leur temps à rechercher un emploi. L’autre problème de l’emploi en Tunisie, c’est l’inadéquation des diplômes universitaires avec les besoins des entreprises. Il y a bien plus de 10 000 postes vacants dans les entreprises tunisiennes mais une étude effectuée auprès de 400 entreprises et de 12 000 sortants universitaires a dévoilé que plus de la moitié des chômeurs possèdent des diplômes qui leur permettent uniquement de travailler dans le secteur public. Le taux de chômeurs à Tozeur dans cette catégorie de chômeurs affiche 67% environ des personnes sondées, 65% à Tataouine et 60% environ à Jandouba. Le taux moins bas se trouve à Ben Arous avec 22% environ. En revanche, c’est à Tunis qu’on trouve le taux le plus élevé de l’adéquation de l’offre avec les besoins de l’entreprise. Soulignons que les statistiques du bureau d’emploi tunisien affichent un taux d’emploi de 59,8 % au deuxième trimestre 2017. 20,5% parmi eux sont des hommes tandis que la tranche de population active féminine constitue 39,8%. Les secteurs qui proposent le plus grand nombre d’emplois sont les services de travaux publics avec 1 787400 employés au premier trimestre 2017 et le service de l’éducation et de santé employant 662 200 salariés. L’industrie manufacturière emploie quant à elle 632 000 personnes au cours de la même période. Viennent ensuite les industries manufacturières et l’agriculture et la pêche avec quelque 510 000 salariés chacun, puis la construction et les travaux publics avec 469 700 employés et le commerce avec 463 800 employés. Ceux qui travaillent dans le textile et l’habillement sont au nombre de 234 400 tandis que les employés dans le transport et télécommunication sont 191 200 personnes. 150 400 personnes travaillent dans les industries mécaniques et électriques. Les services sociaux et culturels, l’hôtellerie et la  restauration emploient plus de 100 000 personnes . Mais le nombre de ceux qui travaillent dans les industries chimiques, les banques, assurances et les matériaux de construction sont entre 30 000 à 40 000 pour chaque catégorie. Ces chiffres indiquent l’impasse économique du pays. Le secteur public est saturé. La population active se concentre autour des industries manufacturières et de services d'éducation et de  santé publique. Dans  les régions chaudes de Tunisie , les jeunes gens choisissent des filières qui leur permettraient   de travailler dans le secteur public. Notons également que les filles issues des régions chaudes forment la majorité des diplômés sans emploi. Leur problème est lié à la culture de leur région où on peut les laisser continuer leurs études supérieures mais lorsqu’elles veulent prendre le chemin du travail, elles ne sont pas autorisées à rechercher un emploi.   Le rôle du contexte politique dans l'emploi en Tunisie  Le chômage massif est également causé par la déstabilisation de l’année 2011. Le soulèvement populaire a permis l’entrée en scène d’acteurs issus de milieux très divers. Il y a les jeunes instruits de la ville qui souffrent le plus du chômage. Les gens de classe moyenne et le petit peuple s’ajoutent à eux.    L’incapacité des dirigeants et le manque de souplesse politique enfoncent le pays dans le gouffre du chômage. La bipolarisation n’aboutit pas. De l’autre côté, les forces politiques sont trop occupées à la confrontation pour avoir le temps d’étudier la vraie question qu’est le problème emploi et de l’économie. Le libéralisme non contrôlé ne fait qu’aggraver le problème de l’emploi tout en creusant le fossé entre les zones littorales et les zones intérieures. Le fait est que l’Etat devrait se préoccuper de l’orientation de l’économie afin d’attirer les investisseurs dans les secteurs nécessaires au développement de l’économie. D’autant plus que la Tunisie n’est pas un pays qui regorge de richesses minières. Les politiques doivent ainsi adopter une politique dynamique et compétente. Le débat idéologique n’amène à rien et ce n’est qu’un moyen pour divertir l’attention de la population sur le problème de fond.   Le rôle des cabinets de recrutement face au chômage et l'employabilité Les cabinets de recrutement jouent un rôle important dans la gestion du chômage et l'amélioration de l'employabilité des individus. Leur objectif principal est de mettre en relation les demandeurs d'emploi avec les entreprises à la recherche de talents. Voici quelques rôles clés que les cabinets de recrutement jouent dans ce contexte : Correspondance entre les compétences et les besoins des entreprises : Les cabinets de recrutement évaluent les compétences, l'expérience et les qualifications des candidats et les comparent aux exigences des postes vacants. Cela permet de faciliter la correspondance entre les candidats et les opportunités d'emploi, aidant ainsi à réduire le chômage. Accès à un large réseau d'employeurs : Les cabinets de recrutement entretiennent des relations avec un large éventail d'entreprises et d'organisations, ce qui leur permet de connaître les opportunités d'emploi disponibles. Ils peuvent aider les demandeurs d'emploi à accéder à des postes qui ne sont pas nécessairement annoncés publiquement. Conseils et coaching pour l'employabilité : Les cabinets de recrutement offrent souvent des services de conseil et de coaching aux demandeurs d'emploi pour les aider à améliorer leur employabilité. Cela peut inclure des conseils sur la rédaction de CV et de lettres de motivation, la préparation aux entretiens d'embauche, le développement de compétences spécifiques, etc. Evaluation et sélection des candidats : Les cabinets de recrutement peuvent réaliser des évaluations approfondies des candidats, notamment des entretiens, des tests de compétences et des vérifications de références. Cela permet aux entreprises de trouver des candidats qualifiés et adaptés à leurs besoins, tout en aidant les demandeurs d'emploi à se démarquer dans le processus de recrutement. Suivi post-placement : Après le placement d'un candidat dans un poste, les cabinets de recrutement peuvent suivre sa progression et s'assurer que l'intégration dans l'entreprise se déroule bien. Cela contribue à la rétention des employés et à la satisfaction des employeurs et des employés. Il convient de noter que bien que les cabinets de recrutement jouent un rôle important dans la gestion du chômage et l'employabilité, ils ne sont pas la seule solution. D'autres mesures, telles que la formation professionnelle, le développement des compétences, les politiques gouvernementales favorables à l'emploi et la création d'opportunités économiques, sont également nécessaires pour faire face aux problèmes du chômage et de l'employabilité de manière plus large et durable.   La recherche d'emploi sur linkedin et sur les plateformes web La recherche d'emploi sur LinkedIn et sur les plateformes web est devenue une pratique courante et efficace pour de nombreux demandeurs d'emploi. Ces plateformes offrent une variété d'outils et de fonctionnalités pour faciliter la recherche d'opportunités professionnelles et l'interaction avec les employeurs. Voici quelques points clés à prendre en compte : Créer un profil professionnel attractif : Sur LinkedIn, il est essentiel de créer un profil complet et attractif en mettant en valeur votre expérience, vos compétences, vos réalisations et vos objectifs professionnels. Utilisez des mots-clés pertinents pour rendre votre profil facilement repérable par les recruteurs. Utiliser les moteurs de recherche d'emploi : Les plateformes web, y compris LinkedIn, proposent des moteurs de recherche d'emploi qui permettent aux utilisateurs de rechercher des postes en fonction de critères tels que le titre du poste, la localisation, les compétences requises, etc. Utilisez ces filtres pour affiner vos résultats et trouver des opportunités qui correspondent à vos aspirations professionnelles. Suivre les entreprises et les groupes pertinents : Sur LinkedIn, vous pouvez suivre les pages d'entreprises qui vous intéressent et rejoindre des groupes professionnels liés à votre domaine d'expertise. Cela vous permet de rester informé des offres d'emploi, des mises à jour de l'entreprise et des discussions pertinentes, ce qui peut faciliter votre recherche d'emploi. Le partage de l’intérêt pour les opportunités : Faites savoir aux recruteurs et aux employeurs potentiels que vous êtes ouvert aux opportunités professionnelles en mettant à jour votre statut LinkedIn ou en activant la fonction "Open to Work". Cela peut augmenter vos chances d'être contacté par des recruteurs et d'être informé sur les postes vacants. Réseau et interaction : Les plateformes web offrent des possibilités de réseautage professionnel. N'hésitez pas à interagir avec des professionnels de votre domaine, à rejoindre des groupes de discussion pertinents et à participer à des conversations. Cela vous permettra de vous faire connaître, d'établir des connexions et de saisir des opportunités cachées. Utiliser les alertes d'emploi : Vous pouvez configurer des alertes d'emploi sur LinkedIn et d'autres plateformes pour recevoir des notifications par e-mail sur les offres d'emploi correspondant à vos critères de recherche. Cela vous permet d'être informé rapidement des nouvelles opportunités et de soumettre votre candidature plus rapidement. Soigner la candidature : Lorsque vous postulez à des offres d'emploi en ligne, assurez-vous de personnaliser votre lettre de motivation et votre CV en fonction des exigences spécifiques de chaque poste. Mettez en valeur vos compétences et vos réalisations pertinentes pour attirer l'attention des recruteurs. En utilisant LinkedIn et d'autres plateformes d’emploi web de manière stratégique, vous pouvez augmenter votre visibilité auprès des recruteurs, élargir votre réseau professionnel et accéder à un plus grand nombre d'opportunités d'emploi. Cependant, il est également important de compléter votre recherche d'emploi. En conclusion Le taux de chômage en Tunisie est certes alarmant pour un petit pays qui est également sujet aux contraintes extérieures. Il devrait adopter une politique qui attire les investisseurs étrangers et nationaux à créer des emplois aux chômeurs. L’investissement massif dans le secteur de l’agriculture, du tourisme, la promotion des industries de main-d’œuvre comme le textile ou les usines de  montage de voitures  pourrait constituer un moyen d’alléger cette situation de chômage.    
  Programmes du Ministère de la formation professionnelle et de l'emploi Moderniser la formation professionnelle en Tunisie   La formation et l'intégration professionnelle en Tunisie jouent un rôle essentiel dans le développement économique et social d'un pays. En Tunisie, ces aspects revêtent une importance particulière alors que le pays aspire à renforcer ses compétences et à stimuler son marché du travail. L'introduction de la formation et de l' intégration professionnelle en Tunisie met en lumière les efforts déployés pour améliorer les compétences des travailleurs et faciliter leur transition vers le monde du travail. La Tunisie, en tant que pays d'Afrique du Nord, est confrontée à des défis économiques et sociaux, tels que le chômage des jeunes et la nécessité de diversifier les secteurs économiques. Afin de faire face à ces défis, le gouvernement tunisien a mis en place des programmes et des politiques visant à promouvoir la formation et l'intégration professionnelle des individus. L'une des initiatives clés est le développement d'un système éducatif axé sur l'acquisition de compétences pertinentes pour le marché du travail. Les établissements d'enseignement supérieur tunisiens ont renforcé leurs programmes de formation professionnelle, en mettant l'accent sur des domaines tels que les technologies de l'information, l'ingénierie, le tourisme et l'agriculture. Cela permet aux diplômés d'acquérir les compétences et les connaissances nécessaires pour répondre aux besoins du marché de l'emploi tunisien et international. En parallèle, des mesures ont été prises pour encourager l'entrepreneuriat et soutenir la création d'emplois. Des incubateurs d'entreprises et des espaces de coworking ont été établis pour soutenir les jeunes entrepreneurs et les aider à concrétiser leurs idées. Des programmes de formation et de mentorat sont également proposés pour renforcer les compétences entrepreneuriales et favoriser la réussite des nouvelles entreprises. L' intégration professionnelle en Tunisie des diplômés et des travailleurs est également une priorité en Tunisie. Des dispositifs de soutien ont été mis en place pour faciliter la transition des jeunes diplômés vers le monde du travail, tels que des programmes de stages, des offres d'emploi réservées aux jeunes diplômés et des mesures incitatives pour les entreprises qui recrutent des jeunes. Programmes du Ministère de la formation professionnelle et de l'emploi Les programmes du Ministère de la Formation Professionnelle et de l'Emploi en Tunisie visent à renforcer les compétences des individus et à favoriser leur intégration dans le marché du travail. Ces initiatives offrent des opportunités de formation spécialisée, d'apprentissage pratique et de soutien professionnel. Voici quelques-uns des programmes clés proposés par le Ministère. Programme de formation professionnelle  Ce programme vise à former les jeunes et les demandeurs d'emploi aux compétences techniques et professionnelles requises par les secteurs en demande. Il offre une variété de formations dans des domaines tels que l'informatique, l'électronique, la mécanique, la construction, l'agriculture, le tourisme, et bien d'autres. Ces formations sont dispensées dans des centres de formation professionnelle à travers le pays et permettent aux participants d'acquérir des qualifications reconnues sur le marché du travail. Programme d'apprentissage Le Ministère propose également un programme d'apprentissage qui combine la formation théorique en classe avec l'apprentissage pratique sur le terrain. Les participants sont placés dans des entreprises et des ateliers où ils acquièrent une expérience concrète dans leur domaine d'étude. Cela leur permet de développer des compétences spécifiques et de se familiariser avec les exigences et les réalités du monde du travail. Programme d'insertion professionnelle Ce programme vise à faciliter l'intégration des diplômés dans le marché du travail. Il offre un soutien personnalisé aux jeunes diplômés, notamment en les aidant à rédiger leur CV, à se préparer aux entretiens d'embauche et à rechercher des opportunités d'emploi. Des sessions de coaching et de mentorat sont également proposées pour les guider tout au long du processus d'insertion professionnelle. Programme d'entrepreneuriat Le Ministère encourage également l'entrepreneuriat en offrant des programmes de formation et de soutien aux jeunes entrepreneurs. Ces programmes visent à renforcer les compétences en gestion d'entreprise, à fournir des conseils sur la création d'entreprise et à faciliter l'accès au financement et aux ressources nécessaires. L'objectif est d'encourager l'innovation, la création d'emplois et le développement économique par le biais de l'entrepreneuriat. Ces programmes du Ministère de la Formation Professionnelle et de l'Emploi en Tunisie jouent un rôle essentiel dans la création d'un vivier de talents qualifiés, dans l'amélioration des compétences professionnelles et dans l'accompagnement des individus vers une carrière fructueuse. Ils contribuent à l'évolution et à la croissance du marché du travail en répondant aux besoins de l'économie tunisienne et en favorisant l'employabilité des citoyens. Moderniser la formation professionnelle en Tunisie La modernisation de la formation professionnelle en Tunisie repose sur une série de mécanismes et de processus visant à adapter les programmes et les méthodes d'apprentissage aux besoins changeants du marché du travail. Ces efforts sont déployés afin de renforcer les compétences des individus, d'améliorer leur employabilité et de favoriser le développement économique du pays. Un des mécanismes clés pour moderniser la formation professionnelle est la révision des programmes d'études. Les autorités tunisiennes travaillent en étroite collaboration avec les acteurs du secteur de l'éducation et du marché du travail pour identifier les compétences requises dans différents domaines. Cette collaboration permet de développer des programmes de formation pertinents, en phase avec les évolutions technologiques et les nouvelles exigences du marché. Les programmes sont régulièrement actualisés pour intégrer les dernières avancées et les meilleures pratiques dans chaque secteur d'activité. Parallèlement, des efforts sont déployés pour moderniser les méthodes pédagogiques utilisées dans les centres de formation professionnelle. L'accent est mis sur l'apprentissage pratique, l'utilisation des nouvelles technologies de l'information et de la communication, ainsi que sur l'approche axée sur les compétences. Les apprenants sont encouragés à participer activement à leur formation, à travailler sur des projets concrets et à développer des compétences transversales telles que la communication, la résolution de problèmes et le travail d'équipe. La modernisation de la formation professionnelle en Tunisie passe également par le renforcement de la collaboration entre les centres de formation, les entreprises et les organisations professionnelles. Des partenariats sont établis pour faciliter l'accès des apprenants à des stages en entreprise, à des projets de recherche appliquée et à des opportunités d'apprentissage sur le terrain. Cette collaboration permet aux apprenants de développer des compétences pratiques et de se familiariser avec les réalités du monde du travail. En outre, des mécanismes sont mis en place pour évaluer et certifier les compétences acquises par les apprenants. Des certifications reconnues sur le marché du travail sont délivrées pour attester du niveau de compétence des individus dans leur domaine d'étude. Cela facilite leur intégration professionnelle et renforce leur crédibilité auprès des employeurs. A vrai dire, la modernisation de la formation professionnelle en Tunisie repose sur une approche holistique qui combine la révision des programmes, l'adoption de méthodes pédagogiques innovantes, la collaboration avec les acteurs du marché du travail et la certification des compétences. Ces mécanismes et processus visent à créer un système de formation professionnelle agile, adapté aux besoins du marché du travail et capable de fournir des talents qualifiés pour soutenir le développement économique du pays. Pour résumer, La combinaison de la formation professionnelle et de l'intégration professionnelle représente une solution essentielle pour lutter contre le chômage en Tunisie. En offrant une formation spécialisée et adaptée aux besoins du marché du travail, la formation professionnelle permet aux individus d'acquérir les compétences recherchées par les employeurs. Cela augmente considérablement leurs chances de trouver un emploi et de s'insérer durablement dans le marché du travail. La formation professionnelle, lorsqu'elle est complétée par des programmes d'intégration professionnelle, offre aux apprenants l'opportunité d'appliquer leurs connaissances théoriques et de développer des compétences pratiques. Ces programmes fournissent des stages, des apprentissages en entreprise, des projets concrets et des mentorats pour permettre aux apprenants de se familiariser avec l'environnement de travail réel. Cela leur donne une expérience précieuse, renforce leur employabilité et facilite leur transition vers l'emploi. En combinant la formation professionnelle et l'intégration professionnelle, les individus peuvent bénéficier d'une approche complète qui leur permet de se former dans des domaines en demande, d'acquérir des compétences pratiques et de se préparer activement à leur insertion sur le marché du travail. Cela permet de réduire le fossé entre les compétences des travailleurs et les besoins des employeurs, favorisant ainsi une meilleure adéquation entre l'offre et la demande d'emploi. De plus, cette combinaison contribue également à stimuler l'entrepreneuriat en fournissant aux individus les connaissances et les compétences nécessaires pour créer et gérer leur propre entreprise. La formation professionnelle et l'intégration professionnelle encouragent l'innovation, l'esprit d'entreprise et la création d'emplois, offrant ainsi de nouvelles opportunités pour réduire le chômage et stimuler la croissance économique en Tunisie. En conclusion, la combinaison de la formation professionnelle et de l'intégration professionnelle représente une solution prometteuse pour lutter contre le chômage en Tunisie. En donnant aux individus les compétences, les connaissances pratiques et l'expérience nécessaires pour s'adapter aux exigences du marché du travail, cette approche contribue à créer une main-d'œuvre qualifiée, compétitive et capable de répondre aux besoins de l'économie.